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21/03/2015

Ending Death Parade - Last Theater de NOISY CELL

J'a-dore.

Shigatsu wa Kimi no Uso

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shi.jpgAnnée : 2014

Genre : Tranche de vie, Musique, Drame, Romance

Épisodes : 22

Synopsis : Arima Kôsei est un jeune lycéen de 14 ans qui a perdu la capacité de jouer du piano depuis que sa mère est morte. Malgré la présence de ses amis Tsubaki et Watari, il reste un peu perdu et un peu seul. Jusqu'au jour ou il rencontre Kaori Miyazono, une violoniste extravagante qui va peu à peu lui redonner le goût de la musique...

Mon avis : Hm j'ai encore un peu le cœur brisé là, mais arf, parlons de Shigatsu wa Kimi no Uso/Your Lie in April tant que c'est encore chaud et que mes larmes humidifient encore la moquette. 

Je n'y connais pas grand chose en musique, alors autant vous dire qu'en musique classique ma culture G frise le deux sur vingt (deux parce que je sais ce que les mots "musique" et "classique" veulent dire). Nombreuses sont les animes musicales, j'en ai en revanche vues très peu, mises à part de petites exceptions comme Kids on the Slope par exemple. 

- T'aime pas la musique classique ?

- Sisisi, mais pas à trop forte dose, sinon je fais une crise en trois phases. Traumatisme. Rejet. Mort cérébrale.

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Cela étant dit, Shigatsu est un petit bijou du début à la fin que même les néophytes en musique classique peuvent apprécier. On suit Arima, cet ado complètement paumé depuis que sa mère est décédée d'une maladie. Il dédiait sa vie à sa mère et se perfectionnait autant que possible au piano dans le seul but de lui faire plaisir, et ce malgré le fait que sa chère petite maman était un peu trop abusive avec lui. Quand elle est partie, Arima a perdu le gout du piano ainsi que la capacité de discerner les sons.

On se retrouve alors dans une histoire de quête d'identité et de raison de vivre. Cette dernière particularité étant incarnée par la mignonne petite Kaori, cette violoniste douée mais cassant les codes de la musique en n'en faisant qu'à sa tête. Peu à peu, le jeune garçon va tomber sous le charme de cette petite blondinette excentrique et va vouloir jouer de nouveau, avec elle.

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Dans la série, on enchaîne les concerts et les morceaux de piano sont interprétés à la perfection par ces petits génies en pleine introspection et bien souvent en manque de reconnaissance, malgré leur talent. Mon morceau préféré reste "Vent d'Hiver" de Chopin interprété par Emi, sublime !

Outre la musique qui nous emporte à chaque épisode, la partie plus tranche de vie est très touchante et comme on s'en doute, cache un sens plus profond encore (là, je vous fais un clin d’œil pour vous montrer que c'est à cause de cette partie que je pleure ma vie depuis le dernier épisode). La fin en devient un peu prévisible, mais les sentiments restent bien présents.

On en prend plein la tête que ce soit visuellement ou psychologiquement, c'est à voir absolument. Le premier opening Hikaru Nara de Goose House est en plus génialement beau et apaisant, raison de plus.

A noter que le manga qui vient de se terminer au Japon avec son onzième tome sortira au mois de mai en France au éditions Ki-oon !  

Ma note : 15/20

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09/03/2015

Stupeur et Tremblements

stu1.jpgAnnée : 2002

Genre : Tranche de Vie 

Synopsis : Après un combat acharné, la jeune Amélie a enfin réussi à obtenir un poste en entreprise dans ce pays qu'elle aime tant, le Japon. Pas n'importe quelle entreprise puisqu'il s'agit de la boite connue et reconnue Yumimoto. Si elle ne cache pas son enthousiasme à ses débuts, Amélie va vite se rendre compte qu'en tant qu'étrangère et malgré sa parfaite connaissance de la langue, il faut qu'elle s'y prenne autrement.

Mon avis : 

Alors heu allons-y hein, puisqu'il le faut.

Je viens tout juste de voir Tokyo Fiancée, una autre adaptation d'un roman d'Amélie Nothomb et j'ai été pas mal emballée puisque le film reste une très bonne expérience pleine de légèreté et de candeur. 

Soit. 

 

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Stupeur et Tremblement se déroule parallèlement aux événements de Tokyo Fiancée, lorsqu'Amélie trouve un job d'interprète dans une entreprise japonaise, ce qu'elle appellera plus tard l'une des périodes les plus grises de son existence... Et contrairement à Tokyo Fiancée, j'ai détesté ce film.

- Sinon c'est pas du tout parce que tu supportes pas Sylvie Testud hein...

- Du tout. Je trouve juste qu'elle a un charisme d’huître avariée, de caisse à outils, de résidu de pot de chambre. Elle est mauvaise, ça me donne envie de pleurer. Tiens regarde, y'a presque des larmes là.

Effectivement, pour rentrer dans le film, il faudrait déjà réussir à rentrer dans le jeu de Sylvie Testud qui interprète Amélie. Le film a été tourné entièrement en japonais, et j'applaudis la performance de l'actrice française qui a du apprendre ses répliques dans une langue qui n'était pas la sienne. Mais c'est bien la seule chose que j'applaudis car son visage inexpressif et ses yeux d'autruche anesthésiée vont hanter mes cauchemars pendant des jours.

- Bref, tu l'aimes pas quoi.

- ...

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Les autres acteurs sont assez neutres, mis à part la belle Kaori Fuji qui joue la saisissante Fubuki Mori, supérieure directe d'Amélie qui derrière son visage d'ange cache une écrasante ambition.

Le film nous conte ensuite le lente descente aux enfers d'Amélie dans la hiérarchie de l'entreprise. Embauchée en tant qu’interprète, elle n'aura a interpréter que le visage perçant et froid de sa collègue pendant l'année que durera son contrat. Passant par serveuse de café et par responsable de la mise à jour des calendriers, la maladresse d'Amélie la fera inévitablement descendre au fond du gouffre, là ou on récure les toilettes.

Si l'histoire suscite l’intérêt, la réalisation en revanche laisse clairement à désirer. On s'ennuie du début à la fin sans trouver la moindre scène captivante et en se demandant à quel moment on dépasse la frontière de la caricature. Du Japon ou de Tokyo, le spectateur ne verra rien à part les mètres carrés composant l'open-space. Pire, la voix off citant inlassablement des passages du livre et qui voudraient faire passer le film pour une adaptation de la Bible. C'est pas des vessies pour des lanternes, c'est des crottes de chien pour des putains de lingots d'or. 

stu6.jpgBref je crois que je n'oublie rien, car ce film est d'une pauvreté absolue.

- CE PUTAIN DE CLAVECIN 

- Ah oui. La musique donc.

Imagine toi un clavecin pendant une heure et demi. C'est tout.

Voilà. Maintenant si vous me le permettez, j'vais me hara-kiri. 

Ma note : 8/20

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08/03/2015

Tokyo Fiancée

Année : 2015

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Genre : Tranche de vie, Romance

Synopsis :Amélie est née au Japon, mais à ses cinq ans, ses parents prennent la décision de rentrer en Belgique. Des années plus tard, Amélie a désormais vingt ans et est de retour dans le pays de son enfance avec cette fois la ferme intention d'y rester. Elle souhaite savourer son indépendance et cette liberté qu'elle a tant recherché en s'ouvrant à la culture japonaise. Elle décide alors de donner des cours de français qui vont lui permettre de rencontrer son premier étudiant : Rinri

Mon avis : Tokyo Fiancée est un film adapté d'un roman d'Amélie Nothomb : Ni d’Ève ni d'Adam. Il se déroule parallèlement à une autre de ses histoires, Stupeur et Tremblements, qui raconte l'expérience de l'auteure dans une entreprise japonaise, et qui a aussi été adapté au cinéma en 2003.

Je ne connais absolument pas cette écrivaine, hormis de par sa réputation d'être une amoureuse du Japon. J'ai gagné une place de cinéma grâce à l'ATMPJ, une association sur Toulouse en relation avec le pays du soleil levant (où je prends d'ailleurs des cours de japonais), alors par le hasard de la vie je me suis retrouvée dans une salle obscure...

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Bienvenue à Tokyo, où l'on rencontre la jeune Amélie interprétée par la douce Pauline Etienne. Elle nous raconte que le rêve de sa vie, c'est d'écrire, mais pas n'importe où. C'est dans ce pays si étrange car si différent qu'elle souhaite s'imposer. Elle veut être l'égale d'une japonaise de souche et satisfaire son besoin de découvrir le pays en même temps. A la suite de son annonce pour des cours de français, elle va rencontrer Rinri sous les traits de Taichi Inoue, un inconnu de l'écran jusque là, qui joue cela dit avec une sincérité touchante.

C'est donnant-donnant : Amélie apprend le français à Rinri et ce dernier lui apprend la ville, le pays, le manger, le boire, le acheter, le comprendre... du point du vue japonais.

- La culture avec un grand cul.

- ... Tout en finesse, mais en gros c'est ça.

Il lui montre la vraie vie au Japon, celle que l'on ne voit pas à la télé ou dans les livres, mais celle que l'on apprend en étant un natif, qui se transmet dans les gènes depuis des années et ... qu'il est très difficile d'intégrer et d'assimiler dans sa singularité quand on n'est pas du coin.

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On apprend que Rinri de son côté est un amoureux de la France. On devine qu'Amélie et Rinri voient en l'autre la personnification de leur amour pour la culture qu'ils chérissent. Seulement ils n'en connaissent chacun que ce qu'ils ont appris par eux-même, la résultante de tout ce qui a réussi à traverser leurs frontières... Autrement dit un faible pourcentage, une vague idée, un sentiment.

Aborder une nouvelle culture, c'est un peu abandonner une part de la sienne. Or les us et coutumes de notre pays sont des acteurs de ce qui nous a façonné dès le plus jeune âge. Abandonner notre culture, c'est un peu oublier notre histoire et ce qui fait que nous somme nous, aujourd'hui. Et ça, aucun des deux n'est vraiment prêt à le faire. Même l'amour ne parvient pas à les faire passer outre les différences qui subsistent entre eux.

Les deux jeunes souhaitent faire partie de la culture de l'autre mais ils rencontrent inévitablement la barrière que leur impose la leur. Un barrage qui semble insurmontable.

Pour Amélie, c'est la manière qu'à Rinri d'envisager le couple et le mariage.

Pour Rinri, c'est la personnalité peu conventionnelle d'Amélie dans ce pays qui n'est pas le sien.

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En fait, l'idée que je retiens particulièrement, c'est que l'on peut aimer un pays de toute notre âme, il nous arrive des fois de ne pas le comprendre.

Si j'ai aimé ce film, c'est surtout car je me suis reconnue dans cette Amélie de 20 ans, dans ses envies, dans ses besoins et dans ses rêves. Je suis aussi cette amoureuse du Japon un peu naïve, qui n'en connait finalement que la surface. Si je suppose la culture nippone plus profonde et plus ardue à appréhender, l'idée est pour moi très subjective et elle le restera tant que je n'y serais pas directement confrontée. Ce besoin d'indépendance et de liberté est de plus inhérent à toute personne du même âge. Le choc des cultures que l'on observe est en soi un moyen de se rapprocher de l'étranger mais est aussi ce qui irrémédiablement nous éloigne de lui.

Je suis cela dit incapable de dire si ce film aura le même impact chez quelqu'un qui n'a pas le même genre de sentiment vis-à-vis de la culture japonaise. La part d'identification a joué beaucoup dans mon cas et la fin n'en fut que des plus émouvantes ! Tokyo Fiancée est au final léger, pétillant et drôle, et saura forcément ravir les fiancés du Japon que nous sommes...

Ma note : 16/20

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01/03/2015

Kesstalu - Février 2015

nora.jpgNoragami T1 de Adachitoka (Pika)

Yato, un dieu raté n'ayant ni fidèles ni sanctuaire, rêve à ces nombreuses heures perdues de reconnaissance et de célébrité. Rien n'est gagné puisque en plus, son shinki le laisse tomber ! Un shinki est un être à l'apparence humaine qui sert un Dieu en se transformant en arme quand vient le temps de combattre les ayakashi, des démons qui se plaisent à assombrir la psyché des humains. A la recherche d'un nouveau shinki, Yato fait la connaissance de Hiyori, une jeune fille ayant le pouvoir de sortir de son corps de manière totalement involontaire, puis de Yukine un adolescent espiègle qui cache bien des choses...

Peu de surprises pour ce premier tome, je connaissais l'anime sortie il y a environ deux ans que j'avais pas mal appréciée ! Adachitoka connue notamment comme la dessinatrice de Alive Last Evolution, nous partage là encore son trait net et agréable à l’œil. L'histoire promet d'être intéressante, pour l'instant branchée comédie fantastique, elle a un certain potentiel pour se faire plus profonde...

 

nora2.jpgNoragami T2 de Adachitoka (Pika)

Yukine est devenu le nouveau shinki de Yato. A la recherche de travail dans l'espoir de trouver de nouveaux adorateurs, on en apprend au passage un peu plus sur la relation particulière qui lie un Dieu à son shinki. Yukine se dévoile au fur et à mesure, sous le regard inquiet de Hiyori, qui elle s'endort encore n'importe ou et n'importe quand. On rencontre de nouveaux personnages : Kofuku par exemple, une demoiselle maladroite comme pas deux, ou encore Bishamon, qui voue une haine particulière à l'égard de Yato du à un événement commun de leur passé...

Je ne suis pas particulièrement fan du personnage de Bishamon, mais l'histoire la liant à Yato n'est pas encore totalement dévoilée, donc à voir pour la suite ! La dernière page du volume est assez intrigante et donne envie de dévorer le troisième tome dont la sortie est prévue le 1 avril.

"- Poisson d'avr...

- C'pas une blague."  

as2.jpgL'Attaque des Titans - Before the Fall T3 de Hajime Isayama (Pika)

Un des deux spin-off de l'Attaque des Titans ayant vu le jour dans nos contrées, Before the Fall se place des années avant l'histoire principale de la série. On découvrait dans les deux premiers volumes un enfant né des déjections d'un titan qui était alors considéré comme un monstre par les hommes et se retrouvait enfermé telle une bête sauvage. Dans ce tome 3, Kyklo est libéré de ses chaines et souhaite alors voir de ses propres yeux un titan pour comprendre ce qu'il peut bien avoir en commun avec eux. Lors d'une expédition du bataillon d'exploration, il se cache des soldats et parvient à en apercevoir un, avant que tout ne tourne soudain au vinaigre...

J'ai beau acheter la suite à chaque nouveau tome, quelque chose me dérange avec cette histoire... Le graphisme de Satoshi Shiki change drastiquement du style de Hajime Isayama et est plus qu'honorable, mais je n'en suis pas particulièrement friande quand on en vient au découpage des cases ou à la mise en scène. Reste que la curiosité l'emporte, car je veux savoir comment le matériel tridimensionnel est né, ce qui est devenu plus tard une arme indispensable contre les titans...

asil.jpgA Silent Voice T1 de Yoshitoki Oima (Ki-oon)

Shôya est un petit caïd. Lui et ses copains se lancent sans arrêt des défis et des tests de courage, car c'est pour eux une méthode très efficace pour combattre l'ennui. Un jour, une nouvelle élève arrive dans sa classe : elle s'appelle Shôko et elle est sourde. Shôya y voit le moyen de s'amuser un peu plus et commence à se moquer d'elle ouvertement et à la harceler... jusqu'à ce que cette situation se retourne contre lui.

C'était LA nouveauté à ne pas manquer ! Ki-oon a fait plaisir à énormément de monde avec cette licence qui s'annonce déjà comme une petite pépite. A la fin de ce premier tome, on sait d'avance que l'on a affaire à un chef d'oeuvre car tout y est : les dessins réalistes et bourrés d'émotions, l'histoire touchante et racontée à la perfection, le thème original et poignant... Une tranche de vie bouleversante, voilà ce que c'est. A suivre obligatoirement avec le volume 2 à paraître le 12 mars.  

 

six.jpgSix Half T2 de Ricaco Iketani (Delcourt)

Lors du précédent volume, on rencontrait Shiori, une lycéenne qui a perdu la mémoire suite à un accident de moto. En essayant de découvrir qui elle est, elle se rend compte qu'elle était une personne peu recommandable à qui elle ne souhaite plus ressembler. Avec l'aide de son frère qui la soutient coûte que coûte, elle va reprendre le gout de vivre normalement et va essayer de devenir quelqu'un dont elle n'a pas à avoir honte ! C'est à ce moment qu'arrive Misaki, une ex-copine de son frère qui semble cacher des choses sous son visage d'ange...

La quête d'identité de Shiori continue ! L'originalité de la protagoniste apporte un peu de fraicheur dans ce shôjo mature qui me fait parfois penser à Comme Elles. Le dessin est cela dit typique du genre, même s'il parvient sans problème à se montrer expressif. Le tome 3 est d'ores et déjà disponible ! 

 

as6.jpgYukito T3 de Akiko Monden et Arimasa Osawa (Panini)

Le thriller policier dans toute sa splendeur ! Le scénario aux petits oignons nous retourne la cervelle mais il est ô combien plaisant à décortiquer. Yukito est un jeune inspecteur de police à la recherche du véritable responsable du meurtre de son père, des années plus tôt. S'il a le soutien de certains policiers mais aussi de yakuzas influents, d'autres individus cherchent à lui mettre des bâtons dans les roues et ne veulent pas qu'il déterre des événements passés...

La jeune Ann apparaît très peu dans ce tome. Reléguée au rang de simple personnage secondaire, on se concentre vraiment sur les magouilles de la mafia et les guerres de pouvoir dans les différents quartiers. On en découvre toujours un peu plus, même si au final on s'enfonce également toujours plus loin dans un environnement plein de secrets.

Bon alors par contre c'est Panini hein, alors le tome 4 sortira quand il sortira...

 

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