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24/04/2015

Life is Strange : "Chrysalis"

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Année : 2015

Support : PC

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Episode 1 :Chrysalis 

Bienvenue dans Life is Strange, le nouveau point-and-click de Dontnod et Square enix ! Ce jeu d'aventure mêlant adroitement slice of life et science-fiction ne laissera pas indifférent : on y contrôle les mouvements de Max, une jeune fille venant tout juste d'avoir 18 ans, as de la photographie mais un peu trop renfermée et timide pour péter la joie de vivre.

- La puberté, tout ça...

- Toi-même tu sais.

 

L'histoire commence ainsi : Max est en plein milieu d'un terrible orage et a dans l'idée de rejoindre le phare que l'on aperçoit à proximité afin de s'y réfugier. Cette petite étape a simplement pour but de nous apprendre à contrôler la jeune fille en la dirigeant d'un point A à un point B. Jusque là, je m'en sors pas trop mal. Enfin jusqu'à ce que Max se prenne le toit du phare venant de s'écrouler sur la tête. Pas trop de bobo puisqu'elle se réveille l'instant suivant, en plein milieu du cours de Mr Jefferson, son prof de photographie. Les selfies ne datent pas d'aujourd'hui nous dit-il, mais on s'en balance parce que Dieu que ce rêve était réel ! Il en a fait perdre le fil de la journée à Max qui est un peu paumée et ne sait pas répondre aux questions de son prof. Cela nous laisse le temps d'apprendre à pointer et cliquer sur les objets qui nous entourent : ici la trousse, le journal ou bien encore le polaroïd de Max.

On découvre également et peu à peu l'ambiance du jeu : la musique est apaisante (guitare acoustique, y'a rien de mieux pour être paisible sur terre) et la lumière apporte un très bel effet. L'animation des personnages est fluide et vraiment très réaliste, même si je trouve que les expressions du visage manquent un peu de... bah d'expression en fait. Les décors sont beaux, on veut regarder partout et l'immersion est totale. Les personnalités des différents protagonistes sont assez sympas à découvrir en live : on peut d'ores et déjà identifier Victoria comme la bitch de service qui ne manque pas une occasion de choisir Max comme tête de turc ou bien encore Kate qui n'a pas l'air dans son assiette. Après quelques remontrances de notre prof, nous sommes libres de quitter la salle de cours et de vaguer à nos occupations sur le campus. Cliquer partout où nous le pouvons devient notre but ultime.

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Impossible de manquer les nombreuses affiches situées sur les murs du bâtiment : une certaine étudiante nommée Rachel a disparu dernièrement, et personne ne sait ce qu'elle est devenue. C'est le début d'une enquête qui va déterrer bien des secrets, mais Max a d'abord besoin de se rafraîchir la tête aux toilettes. 

- Female issue.

- Hahaha.

Elle se fait interrompre par Nathan, un fils de riche arrogant qui a l'air bien en colère. Il discute avec une demoiselle pas farouche aux cheveux bleus, et les deux ont l'air de se chamailler sévère : pour cause, de l'argent et de la drogue seraient mêlés à leurs histoires, pour ce que nous comprenons. Max, témoin de la scène cachée derrière les cabinets, observe alors Nathan sortir une arme de sa poche et descendre sans foi ni loi Miss Cheveux-Bleus.

Dans un élan pour tenter de la secourir, Max... remonte le temps.

Et c'est bien pour ça que la vie est étrange, au fond, si on peut en plus la vivre plusieurs fois.

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Notre mission est désormais de sauver l'adolescente. Pas trop de pression en fait car si l'on échoue à nouveau, nous pouvons remonter le temps autant de fois que nécessaire. Trouver des solutions de secours n'est pas toujours évident et il faut savoir quoi faire au bon moment suivant la situation ! Les deux ados partis, Max peut enfin sortir de sa cachette... et sortir du campus tout court vu qu'elle a déclenché l'alarme incendie.

On rencontre le proviseur et un premier choix important s'offre à nous : raconter ce dont nous avons été témoin ou ne rien dire ? Car Life is Strange est un jeu à possibilités multiples : chaque décisions que nous prenons, qu'elles soient action ou parole, peuvent avoir une influence sur le reste de l'histoire. Il faut donc bien réfléchir à nos choix qui peuvent avoir (ou non !) une importance capitale pour la suite du jeu. Dans ce cas-ci j'ai été une vilaine vilaine collabo, mais quand des armes sont en jeu, pas de pitié. Le proviseur n'a pas l'air de me croire, mais qu'importe, j'ai la conscience tranquille ! 

J'ai désormais tout le loisir du monde pour blablater avec mes camarades de classes. Le but du jeu est tout de même d'obtenir des indices sur Rachel, l'étudiante disparue. On apprend qu'un certain Vortex Club existe ou se rejoint l'élite de la fac pour s'amuser. On fouine aussi pour connaitre les relations des étudiants entre eux et si l'on n'obtient pas l'information souhaitée, on remonte le temps pour changer de tactique. C'est assez intéressant, car la diplomatie ne fonctionne pas toujours !

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J'aime l'atmosphère, l'ambiance entre étudiants est bien retranscrite. Même si les différents élèves sont, en soi, des stéréotypes (la garce, le skater, le quaterback...) il y a quand même un certain naturel dans les paroles et les actes qui est grandement appréciable.

On reçoit un texto de notre ami Warren, l'occasion de découvrir un menu de jeu, histoire de s'y retrouver : nous pouvons donc lire nos textos, regarder les photos que nous pouvons prendre avec le pola à divers endroits stratégiques, ou encore lire les infos sur les personnages au fur et à mesure de leur rencontre. Un petit post-it nous rappelle aussi quelle est notre mission à l'instant t, et pour le moment, je dois aller récupérer une clé USB dans le dortoir des filles. Après avoir piégé Victoria pour qu'elle me laisse passer (et après plusieurs retours dans le temps nécessaires) je peux enfin découvrir ma chambre. Je prends le temps de tout regarder, observer, découvrir, déjà parce que les décors sont sublimes et ensuite parce qu'il se peut que cela ait une influence sur le futur. A ne pas négliger, donc.

La clé USB n'est plus dans ma chambre mais dans celle de Dana, dont la porte est bloquée par Juliet qui elle-même semble être un peu furax. Après avoir réglé le litige entre les deux filles (et au passage visité la chambre de Victoria), on peut récupérer la clé et aller rejoindre Warren sur le parking de la fac. Warren est absolument adorable, trop chou et trop gentil avec notre petite Max qui ne semble pas repérer le flirt qui suinte par tous ses pores. Ils n'ont cela dit pas le temps de roucouler plus que ça, puisque Nathan, le détenteur de l'arme à feu vient pour nous casser la gueule. Il a en effet appris que nous l'avions dénoncé (du coup, si nous ne le dénonçons pas, que ce passe t-il à ce moment du jeu ? Mystère...).

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Warren nous sauve la mise et nous avons tout juste le temps de filer dans une voiture, conduite par un second sauveur : il s'agit de la jeune fille aux cheveux bleus, Chloé, qui est par le plus grand des hasards l'ancienne meilleure amie de Max. Arrivée chez elle, on apprend qu'elle a été très proche de Rachel avant qu'elle ne disparaisse, qu'elle lui manque mais qu'elle ne sait pas ce qui s'est passé. 

Les indices recueillis aux différents endroits du jeu nous permettent de nous faire une vague idée sur les protagonistes qui seraient peut-être impliqués dans sa disparition : Mr Jefferson qui aurait couché avec elle, Victoria qui la détestait, l'homme de ménage qui la trouvait très jolie... On détecte une sombre affaire derrière tout ça car beaucoup trop de choses sont louches. En plus, le beau-père de Chloé n'est autre que le chef de la sécurité du campus. Coïncidence ? Je ne crois pas...

De retour au phare et pour de vrai cette fois, Max décide de se confier à Chloé et de lui avouer son secret, au risque d'être prise pour une folle. C'est ici que l'épisode 1 se termine... 

A bientôt pour l'épisode 2 : Out of Time...

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25/01/2014

Assassin's Creed 2 - Test et impressions

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Année : 2009

Support : PC

Mon avis : J'ai donc réussi à me procurer Assassin's Creed deuxième du nom. Yep, pas cher en plus. Bon bah on commence ? C'est pas que j'ai envie de savoir ce qui se trame exactement dans cette histoire... Non-non pas du tout, mais sans blague, c'est super louche quand même ! Y'a un secret énorme derrière tout ça, moi j'vous le dis, un truc vraiment pas clair, Anonymous et les francs-maçons quoi ! Big Brother a qu'a se rhabiller ! Attention aux spoilers, j'veux pas d'ennuis hein... Si t'as une mémoire de poisson pané, tu peux aussi aller voir mon expérience de premier Assassin's Creed =)

                   Little Italy ...

Nous voilà de nouveau dans la peau de Desmond Miles, cobaye entre les mains d'Abstergo, une entreprise pas très nette à la charge des Templiers, ennemis des Assassins depuis la nuit des temps. Nous sommes à l'exact moment de la fin du premier Assassin's Creed : nous venons d'apprendre que Lucy était des nôtres, et qu'à cela ne tienne, elle revient à notre rencontre pour nous aider à nous échapper du laboratoire dans lequel nous tournions en rond depuis des jours... Bye bye Warren, le scientifique avide, et bonjour la liberté ! Enfin presque, car de nouvelles aventures attendent Desmond, qui comme d'habitude, n'a pas vraiment son mot à dire...

Premier couac, les doublages ont changé ! Argh moi j'aime pas ça... Une voix est censée faire partie intégrante du personnage, si elle change, le personnage change également, et cela créé un décalage avec l'opus précédent... Ensuite, Desmond à l'air d'avoir carrément changé de personnalité en devenant un mec à l'humour douteux (comme moi) et un peu grande gueule (comme toi) sur les bords... Mais bon, faisons l'hypothèse qu'après tant de temps dans le corps de quelqu'un d'autre, il ne doit plus trop savoir qui il est lui-même...

On change donc de décor pour retrouver de nouveaux personnages (Rebecca, une geek sympathique, et Shaun, le gros lourd de service en mode je-suis-meilleur-que-tout-le-monde) faisant partie tout deux des Assassins. Nous montons à bord d'un nouvel Animus dans le but de trouver l'emplacement de nouveaux fragments d'Eden, avant que les Templiers ne mettent eux-mêmes la main dessus. Nous devenons cette fois Ezio Auditore, en plein cœur de Florence, dans l'Italie du XVème siècle. Comme d'habitude, décors sublimes ! Au cours de l'introduction du jeu, Ezio, le cazanova (référence italienne number one) qui drague tout ce qui bouge, va découvrir l'existence d'un complot qui viendra à bout de la moitié de sa famille... Par vengeance, il deviendra sans s'en rendre compte un Assassin, recherchant alors la moindre personne ayant un rapport avec la mort de son père et de ses frères. J'ai regretté qu'on ne ressente pas vraiment la tristesse d'Ezio, qui se cache derrière son caractère de beau parleur pendant une grande partie du jeu.

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                 Au pays d'Ezi', tout le monde mange des spaghettis... 

Au niveau du contrôle, on a peu de différence avec l'opus précédent, on n'est donc pas dépaysé le moins du monde (je mens un peu, je suis obligée de revenir toutes les cinq minutes dans le menu pour savoir à quelle touche correspond tel symbole, mais ça c'est parce que je suis une quiche). C'est au niveau du jeu en lui-même qu'il y a des nouveautés : si lors du premier opus, nos missions étaient assez peu différentes les unes des autres, nous avons ce coup-ci énormément de choses à faire, ce qui est extrêmement appréciable. L'assassinat reste bien sur la trame principale de l'histoire, mais beaucoup de quêtes annexes nous permettent de voir du pays, comme retrouver les plumes de Petruccio, ou encore posséder toutes les armes et armures, ce qui implique de visiter toutes les boutiques. La quête d'Ezio qui durera pas moins de 22 ans le fera vagabonder de Florence à la Toscane en passant par Venise, cette dernière ville restant ma préférée.

Au niveau du graphisme, pas mal d'efforts ont été réalisé, par rapport au premier du nom qui était déjà pas mal dans son genre. Les visages et les mains notamment sont beaucoup plus détaillés, les expressions faciales plus variées et les mouvements plus fluides. Du point de vue des décors, on est toujours dans un semi-open world précis au millimètre, on a envie de regarder partout, les PNJ sont également beaucoup plus variés et les dialogues se font plus divers également... Bonne nouvelle ! Je suis pour l'instant très satisfaite du jeu, même si je ne sais plus pourquoi je tue ces gens... Ils ont surement eu un rôle à jouer dans l'assassinat de la famille d'Ezio de toute façon, mais je m'y perd un peu dans qui est qui. La plupart des personnages ont d'ailleurs vraiment existé, et nous avons même le plaisir d'être ami avec Leonardo Da Vinci, rien que ça. Plusieurs dossiers sont mis à notre disposition si nous souhaitons nous renseigner sur les bâtiments, les personnages ou le contexte historique au fur et à mesure de notre avancée dans les séquences.

Une autre petite nouveauté : si l'on retourne très peu dans le présent, à l'époque de Desmond, il y a quand même quelques petites modifications lors de ces passages : si lors du premier on ne faisait que tourner en rond dans le labo tel un hamster dépressif pris au piège, cette fois nous pouvons contrôler Desmond d'une toute autre manière. Il acquiert les capacités des ces ancêtres au fur et à mesure de ces aller et retours dans l'Animus. Il se tape en prime de sacrés maux de tête que même le doliprane n'arriverait pas à gérer, on n'a même l'occasion de se retrouver dans la peau d'Altaïr pendant quelques minutes... Dieu que le Moyen-Orient moyenâgeux m'avait moyennement manqué :')

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Par contre, je suis bien incapable de vous dire combien de temps j'ai joué, mais il est assez long donc c'est encore un bon point =) Pour conclure, il y a pas mal de bonus à découvrir, dont une vidéo intitulée "La vérité" dont des extraits ont été éparpillé dans toute l'Italie par un certain sujet 16... Ezio aura également la chance de rencontrer un hologramme assez intéressant, qui n'annonce pas un futur des plus ensoleillé... On peut aussi visiter les tombeaux des assassins, récupérer l'armure d'Altaïr, obtenir un niveau bonus, accomplir toutes les missions facultatives... Pas le temps de s'ennuyer quoi, tout ça pour un niveau de difficulté assez correct

Cet opus était très distrayant, apportant son lot de nouveautés et en même temps restant dans la lignée du premier du nom. On s'enfonce un peu plus dans les mystérieux complots mêlant Assassins et Templiers, pour notre plus grand plaisir... Sinon le boss de fin, c'est le pape. Est ce que j'ai perdu ma place au paradis ? On a le droit de revoir Desmond pendant le générique de fin, on va d'ailleurs retrouver notre vieil ami Warren le temps d'un affrontement avec ses sbires... Avec nos nouveaux amis Rebecca, Shaun et Lucy, on fiche le camp de notre planque pour aller se réfugier ailleurs, à l'abri des Templiers et libre de rechercher la vérité sur toute cette histoire, tout en partant à la recherche d'autres fragment d'Eden... Rendez-vous pour le prochain Assassin's Creed un jour peut-être, le nommé Brotherhood =)

Requiescat in pace.

Ma note : 16/20

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12/11/2013

Sleeping Dogs - Test et impressions

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Année : 2012

Support : PC

Mon avis : Il y a un dicton en geek ancien qui dit "Il ne faut pas juger un jeu vidéo en se basant seulement sur les couleurs de la jaquette", et je suis assez d'accord (il y en a aussi un qui dit "si ton PC à deux à l'heure va, le balancer par la fenêtre tu devras", mais là n'est pas le sujet) ... Quand j'ai vu la jaquette de Sleeping Dogs, je n'ai pas pu m'empêcher de penser, tel un enfant de 10 ans au Toys'r'us deux jours avant Noël, "Elle déchire ! Ca à l'air cool, il me la faut !". Oui, je suis tellement influençable que je suis une cible facile pour les grands stratèges du marketing... Mettez sur une boite de chocolat en poudre que ça vous fait perdre 5 kilos et je l'achète immédiatement... Mais ce n'est toujours pas le sujet ! Ce bébé né de Square Enix a donc trouvé une nouvelle maman... Explications !  

Welcome to Hong Kong... 

Nous voici entre les mains de Wei Shen, un bad guy revenant des USA, et semblant trainer un lourd passé derrière lui. On commence le jeu en douceur (nan, j'déconne =D) lors d'une course poursuite hyper dynamique à travers les rues de Hong Kong. Tout y est : les graphismes détaillés, réalistes, colorés, la bande son qui sait parfaitement retranscrire l'ambiance de la ville, la qualité des dialogues et du doublage (vostfr)... et le scénario qui à l'air d'envoyer du steak. Wei se fait malheureusement choper par les flics, mais qu'à cela ne tienne ! On apprend qu'il est indic' et qu'en étant sous couverture il aide la flicaille à faire exploser les Triades de l'intérieur... Notre première mission ? Nous faire engager par un gang puissant de la ville sans éveiller les soupçons... Et notre place, c'est à la force des poings que nous allons l'obtenir =) Le gameplay est assez cool, on a plusieurs types d'attaques à mains nues, et certaines interactions avec les PNJ et les éléments du décor sont possibles. Notre boss nous donne ensuite quelques missions à réaliser pour que le quartier n'oublie pas qui est le patron, on récolte des sous, on tabasse quelques gars, on aide des commerçants... Eblouie par les décors et la qualité graphique, je continue sans hésiter.

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 Un Driver à la sauce soja... 

Le jeu démarre ensuite pour de bon, et un mot me vient tout de suite en tête pour le qualifier : Driver. Vous vous souvenez peut être de ce jeu sorti sur PS1 à la fin des années 90, ou vous deviez conduire à droite à gauche dans les rues de San Francisco ou de L.A pour réaliser des missions à la légalité douteuse (ce jeu est juste mythique, forcément que vous vous en souvenez ;) ? Ici, c'est tout pareil : un coup on œuvre pour notre chef de gang avec officieusement le devoir de rendre des comptes à la police, et un coup on œuvre pour cette même police en piratant des caméras de surveillance, en installant des micros ou en balançant un nom utile... Tout ça au volant d'une voiture, moto ou d'un bus à impériale, prêt à vadrouiller aux quatre coins de la ville. Si ma prise en main des véhicules a été terrible, c'est ensuite un vrai régal de se balader au milieu de cette populace chinoise faisant ses emplettes. Sur combien d'innocents ai-je roulé par mégarde ? Combien de magnifiques véhicules ai-je explosé ? Je ne saurai dire... On retrouve les même ingrédients qui avaient faits le succès de Driver, ainsi que de GTA (que je ne connais pas donc ma comparaison s'arrêtera ici). On pique des véhicules à qui on veut, on sème la police, on accomplit nos missions diverses et variées, on est libre d'aller ou l'on veut, car les rois de la ville, c'est nous...

Bref, Wei switch entre police et mafia, en essayant de ne pas mélanger les deux... Plusieurs petites missions annexes font leur apparition comme prier devant des autels ou retrouver les statues de jade de notre maître de Kung Fu. On apprend plusieurs autres mouvements d'attaques, et on a également possibilité d'améliorer nos capacités lorsque l'on augmente notre niveau de jeu : on peut alors voler une voiture sans déclencher l'alarme ou désarmer des gens sans engendrer de bagarre... Tant qu'on sauve notre peau, moi ça me va =) Côté scénario, on apprend que le but de la police est de directement atteindre le chef de tout ce beau monde, La Tête du Dragon, un vieux papy qui fout les chocottes à trois fois plus costaud que lui... Tant de pouvoir dans les mains d'un seul homme ! C'est effrayant =)

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"You are a cop,

I'm an undercover cop, the rules are different" 

Mais Wei à beau être bien baraque et au clair dans sa tête, il y a quand même des fois ou l'on se demande s'il ne serait pas définitivement du côté de la mafia... D'ailleurs, ses supérieurs hiérarchiques ne manquent pas de lui rappeler à qui il doit des comptes, au final. Lors du mariage de notre chef de gang, c'est la panique : un gang adverse fait un carnage, tuant tout le monde sur son passage...La hiérarchie mafieuse se retrouve chamboulée et c'est cet évènement déclencheur qui sera l'apogée du scénario. Oncle Po, la Tête du Dragon, se retrouve blessé grièvement... Une question se pose alors : qui va assurer l'intérim ? La guerre est déclarée, chaque chef veut sa part du gâteau, et la part du lion va causer de nombreux morts, c'est certain... Seulement, les méchants ne sont pas toujours ceux que l'on croit, et peut-être qu'au sein même de la police, les vendus se cachent...

Quelques petits bugs sont à noter en cours de route : en ce qui concerne le gang ennemi, il n'y a que 4 ou 5 skins de personnages... Lorsque Wei doit battre 15-20 gars d'un coup, bah ils sont tous pareils, en mode L'attaque des clones, ce qui est un peu dommage. Ensuite l'IA laisse quelque fois à désirer, notamment quand ce n'est pas Wei qui conduit lors des courses poursuites, par exemple. Obligée de recommencer la mission en entier car mon collègue ne savait plus dans quelle direction aller... Ah, et je n'ai jamais eu accès au serveur Sleeping Dogs, toujours indisponible dans mon cas, je ne sais pourquoi, ce qui m'empêche donc de choper du contenu en ligne...

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Au contraire, quelques bonus totalement inutiles pour terminer le jeu mais rajoutant du contenu assez fendard sont à noter : Wei a possibilité de changer de vêtement, allant du jean rétro à la combinaison jaune façon Kill Bill, si jamais on rage de le voir dans ses fripes gorgées de sang trop longtemps... On peut aussi acheter des meubles pour décorer les planques ou encore des objets permettant d'avoir certains bonus de jeu. J'ai aussi bien aimé le fait que l'on puisse faire du karaoké ! D'ailleurs question musique, la bande son est un régal et l'on a moyen de changer de radio lorsque l'on roule, c'est un vrai plaisir ;)

Le jeu se termine après une dernière mission ou Wei en voit des vertes et des pas mures... Le non regretté boss de fin termine dans une machine à broyer la glace, dans une violence qui est à l'image du jeu... Mais c'est ça, la mafia à Hong Kong ;) Au final, Sleeping Dogs est un jeu super distrayant, avec un scénario certes déjà vu, mais construit et intéressant avec en plus des graphismes sublimes dans une palette de couleurs incroyable. On vibre en même temps que Wei, sur une durée de vie honorable, d'une vingtaine d'heure pour la trame principale, et d'environ 5-10 de plus à vue de nez pour le finir complètement =) Voilà ! Je vous invite à l'essayer, et je terminerai sur ce concept aussi douteux qu'une boite de thon restée trop longtemps au frigo : en Chine, plus on est de fous, et moins y'a de riz =D

Ma note : 16/20

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05/08/2013

Assassin's creed - Test et impressions

Assassins_Creed.jpgAnnée : 2008

Support : PC

Mon avis : Oui, j'ai tendance à m'y mettre après tout le monde... Disons que j'ai un petit temps de retard entre le moment ou le jeu sort, et le moment ou je me dis " Tiens ! Faudrait peut être que tu te l'achètes celui la !" Pour Assassin's creed, il m'aura fallu environ 5 ans pour me décider... Mieux vaut tard que jamais =D C'est la bande annonde du quatrième opus intitulé Assassin's creed : Black Flag qui m'a un peu titillée, et je me suis dis que pour qu'il y ait un certain interet à jouer à celui-ci, encore fallait-il que j'ai joué aux premiers... La franchise Assassin's creed développée par Ubisoft n'a aujourd"hui plus rien a prouver, je suis donc curieuse de voir ce que ça cache... C'est partit =)

 (Attention aux spoilers ;)

 

Une immersion dans la matrice...

Moi qui m'attendais à prendre directement les commandes d'un assassin hors pair venu d'une autre époque, je suis étonnée d'être en fait dans la peau de Desmond Miles, cobaye entre les mains d'un scientifique un peu ambitieux qui en perdrait sa morale si sa charmante sous-fifre Lucy n'était pas la pour le freiner un peu. Ils nous expliquent tout deux qu'ils sont à la recherche d'un fragment de mémoire d'un des ancêtres de Desmond, que ce dernier conserverait profondément enfouit dans les tréfonds de son esprit... Le seul moyen de le récupérer ? Fouiller dans sa mémoire à l'aide d'une machine nommée Animus, permettant de revivre les souvenirs de cet ancêtre, tout en étant dans la peau de cet ancêtre... Hm, voilà qui est interessant ;) 

Lorsque Desmond est dans l'Animus, il devient alors Altaïr, un membre d'une fraternité chargée de faire respecter la paix avec des moyens pas toujours très catholiques, notamment l'assassinat. L'introduction est la pour nous définir toutes les touches, j'avoue qu'en dix minutes de jeu, je suis déjà pommée : un mode passif, un mode actif, des lames secretes, bousculer les passants, tuer discrètement, ne pas se faire repérer, utiliser ma tête,... bref, il faut que je revienne de temps en temps dans le menu pour me faire un bref rappel des touches a utiliser ;) On apprend également que Altaïr est loin d'être un enfant de coeur oeuvrant pour la paix des ménages, et qu'il se laisse facilement emporter par ses principes et en oublie le crédo de la fraternité. Son grand chef l'engueule un bon coup, Altaïr est déchu de son rang de maitre, bref, notre personnage doit aller au lit sans avoir prit son dessert et est en plus obligé de se démerder tout seul pour ses missions à venir... ça valait bien le coup d'apprendre à manipuler toutes ces touches, j'ai plus d'armes, et toutes mes techniques ont disparu !

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 Job d'été...

Mon petit boulot afin de me repentir ? Tuer 9 pointures dans différents domaines tels que la vente d'armes ou le traffic d'esclaves, soupçonnées de nuir à la paix... Mais au fur et à mesure, on se rend compte que les méchants ne sont finalement pas ceux que l'on croit... Je commence à remarquer quelques petits défauts dans le jeu : pour commencer, le schéma visant au final à assassiner telle ou telle personne est assez répétitif. On doit se rendre au bureau des assassins, collecter quelques informations, puis tuer la cible avant de revenir voir notre grand manitou pour qu'il nous rende la suite de notre équipement. Ensuite, les quêtes optionelles sont les mêmes dans chaque ville : il faut récuperer des drapeaux, grimper sur toutes les tours, sauver tout les civils se faisant agresser par des soldats injustement... Seuls les défis informateurs varient un peu ce que je trouve très appréciable.

J'aime avoir à tuer des soldats sans me faire repérer, et si au contraire je me fais repérer, j'aime l'idée de fuir le plus vite possible afin de me cacher, le plus souvent au terme d'une course endiablée sur les toitures de la ville, à la recherche du premier tas de paille dans lequel je pourrais me planquer ^^ ... Le gameplay est vachement sympa, on a pas mal de techniques meurtrières au choix, on peut se faire passer pour un Erudit pour pas se faire choper dans la rue, on peut faire du cheval, on peut crapahuter absolument partout sans se faire remarquer... Les décors sont très beaux, bien qu'un peu semblables au fil du jeu (en gros, les différentes villes se ressemblent quand même beaucoup, ce qui nous donne un peu l'impression de stagner au même endroit), mais la bande son est assez entrainante, donc bon point =)

Au final, il faut completer au maximum le fragment d'ADN de Desmond pour finir complètement le niveau, j'espère juste que les suivants vont se diversifier un peu :/

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Petits meurtres entre amis...

En fait, l'histoire prend place tout doucement, Altaïr commence à percuter qu'on se fout un peu de sa gueule, et le complot révèle petit à petit tout ces secrets... Moi je prend mon pied, car bien que le but de la mission de change pas, les changements de quartiers et les défis se diversifiant un peu permettent de profiter pleinement de l'ambiance du jeu. Ca se complique aussi, j'en viens quelques fois à recommencer un certain nombre de fois plusieurs scènes du à une faiblesse momentanée des doigts appuyant sans cesse sur la souris pour tuer ces saletées de Templiers (sisi j'vous assure, c'est pas moi qui suis faible hein... ce sont mes doigts, mes doigts, j'vous dis !) ...

Actuellement au 6ème assassinat, on sent que l'histoire prend de la vitesse, et on se doute qu'Al Mualim, le grand manitou, est carrément louche dans c't'affaire... Il nous apprend que tout repose en fait dans le creux de sa main, sous la forme d'une orbe en argent, qui représente d'après lui la tentation de l'homme...

Encore quelques petits défauts qui sont à deux doigts de me faire m'arracher les cheveux : certains PNJ sont juste insupportables. Les mandiantes qui te réclament du fric toutes les cinq minutes, qui sont très nombreuses,  qui t'empêchent de passer et qui en plus si tu les bouscule te font repérer, ainsi que les... que les... comment je pourrais les appeler, les "mentalement dérangés" qui te poussent sans aucune raison à chaque fois que tu les approche... je trouve que ça gache un peu la fluidité du jeu, ce sont des obstacles agaçants et pas franchement utiles. J'ai également remarqué que la diversité des dialogues des PNJ est très pauvre... en effet, ils repetent toujours, toujours, TOUJOURS la même chose, dans tous les quartiers de toutes les villes et des fois avec les même voix, ce qui me donne souvent envie de couper le son...

De son côté, Desmond a aussi un peu l'impression de se faire entuber, et on a moyen entre deux sauts dans l'Animus de discuter avec Lucy, ou même de fouiller dans son ordinateur à la recherche d'infos sur toute cette drôle d'affaire qui a traversé les époques... Si un moyen existe pour fouiller l'ordinateur de Warren, le scientifique verreux (et je suppose que oui), je ne l'ai pas encore trouvé ^^

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Tel est pris...

Finalement, Altaïr se sera fait flouer jusqu'au bout ! Je trouve que l'assassinat passe un peu au second plan vers la fin, et on passe plutot au meurtre en grand public, en essayant de survivre aux gardes qui nous collent aux fesses... un peu trop. J'en viens à redemarrer le jeu au dernier point de sauvegarde quand je me fais repérer trop souvent, car la flemme de trouver une cachette me gagne... Mais j'en suis presque à la conclusion du jeu, et j'ai hate de voir ce qu'il me réserve ;)

Comme on commençait à s'en douter, Al Mualim nous a berné, et essaye à présent de nous mettre un pied dans la tombe à l'aide de son gros caillou... Lorsque le boss est battu, cette orbe se trouve être en fait une carte indiquant l'emplacement de mystérieux objets, que Warren cherchait à obtenir depuis le début pour le compte de ses employeurs tout aussi mystérieux... La mission de Desmond est terminée, et sa vie ne tient plus qu'à un fil, mais grace à Lucy qui nous cache également pas mal de choses, on a un petit surci... J'ai été un peu déçue de la toute fin, car l'on a pas vraiment de cinématique venant conclure toute cette histoire (on se doute qu'elle ne fait que commencer, mais quand même !). On obtient la vision des assassins, on voit plein de sang sur le mur de la chambre, et hop ! Générique...

Bon jeu ! Quelques petits défauts bien sur, notamment ceux cités sus ditement, mais on passe quand même un bon moment et le scénario bien qu'un peu complexe est bien mené et bien travaillé =) L'agilité de babouin d'Altaïr est vraiment jouissive, et se promener dans la ville est également assez sympa. La durée de vie est acceptable, j'ai fais le strict minimum et j'ai du jouer environ 15-20h à vue de nez, alors si vous faites les quêtes optionnelles y'en a pour un moment ^^ Je ne sais pas quand est-ce que j'aurai l'occasion de jouer au second opus, mais il est à présent sur ma liste =)

 

Ma note : 14/20

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15/07/2013

Tomb Raider - Test et impressions

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Année : 2013

Support : PC

Mon avis : Je ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait appeler une geek ou une gameuse (ce mot existe t-il d'ailleurs ?), je ne passe pas 35 heures par semaines devant une console, je n'ai pas toutes les plateformes possibles et inimaginables, mais y'a des fois, ça fait vachement de bien de se retrouver derrière un écran pour jouer ! Le dernier opus de Tomb Raider développé par Square Enix me faisait de l'oeil depuis sa sortie, et hier, le site éponyme faisait des promos sur les jeux PC en téléchargement... Ni une ni deux, je me suis procurée cet opus, pour une somme bien modeste (comme je l'avais fais pour Final Fantasy VII d'ailleurs) ...

Il m'a fallu attendre pas moins de 11h pour le télécharger ! Mon PC n'ayant pas les capacités techniques d'un super calculateur, j'ai du me montrer patiente... Et mettre à jour les pilotes de ma carte graphique aussi... Arrivée à 100%, j'exprime ma joie en cliquant sans attendre sur le petit bouton "jouer", qui me narguait durant le chargement.  

La croisière s'amuse...

Le jeu commence sur une cinématique aux graphismes impressionnants ! Lara Croft est en plein naufrage, pendant un orage titanesque, au milieu du Triangle des Dragons... Elle échoue sur une île un peu glauque au sud du Japon... Son but : retrouver ses coéquipiers, et éviter des habitants de l'île qui ne lui veulent pas que du bien...

C'est à partir de ce moment que nous prenons en main Lara, que personnellement je n'avais pas eu l'occasion de contrôler depuis Tomb Raider Anniversary. Le trajet est assez linéaire, et les quelques énigmes présentes pour la mise en place du jeu sont assez simples. On a un gameplay léger qui nous permet entre autre ne prendre conscience de notre environnement, et d'enflammer des objets grâce à notre torche. Ajoutez à cela une touche pour sauter, et on est bon. Les décors sont absoluments magnifiques, de plus, l'environnement dynamique nous oblige sans cesse à  regarder tout ce qui se passe autour de nous, on craint qu'un individu non identifié arrive par surprise à chaque instant, ou qu'un énorme rocher ne nous tombe sur la tête...

Autre chose que j'ai beaucoup apprécié : pour parler cruement, Lara en chie grave. Elle est blessée, elle pisse le sang, elle à froid, elle est crad', elle est exténuée... Fini l'héroine qui a toujours le brushing impeccable ! Cela rajoute un réalisme irresistible à l'ambiance décalée et malsaine qui régnait déjà sur cette île étrange... 

L'intro se termine sur la découverte du panorama de l'île, et contrairement à Lara, on a hate d'en explorer les moindres recoins...

Niveau doublage, on retrouve Alice David (vu dans la série Bref, notamment =) ) aux commandes de Lara ! Je dirai qu'elle a une voix un petit peu monotone, pas toujours très expressive, mais un très joli timbre qui colle parfaitement à notre jeune aventurière ;) J'ai également reconnu Geneviève Douang pour la voix de Sam, que j'ai connu grâce au personnage de Evangelyne dans Wakfu ;) Pour les autres, pas mal de doublages que l'on reconnait, c'est presque du cinema, ça en jette... Maintenant la suite. 

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Et Robinson cru Zoé...

Si j'avais un seul reproche à faire, je dirai qu'à la fin de l'introduction, on a déjà une barre de progression de 4%. On se dit alors qu'avec la durée de vie, ça va pas être terrible...

Lara est donc ensuite embarquée dans une lutte intense pour sa survie : chasser et dépecer les animaux pour manger grâce à un arc retrouvé sur un cadavre, se défendre face à des russes rustres et sauvages qui veulent sa mort on ne sait pourquoi...  Tout tourne autour d'une déesse japonaise nommée Himiko, reine du Yamatai, et qui est encore vénérée comme aux temps anciens...

On apprend pas mal de techniques de combat ! Moi j'aime le tir à l'arc furtif, c'est stylé =D Avoir une souris est insispensable, j'en ai pas et je galère pour viser correctement, surtout quand viennent les loups ! Aux différents camps que l'on rencontre, on a l'occasion d'améliorer notre équipement grâce à des matériaux que l'on trouve à droite et à gauche, de même, Lara peut apprendre de nouvelles techniques lui permettant par exemple d'avoir plus de munitions dans ses poches (oui, c'est possible, demandez à Hermione dans HP...)

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Lost, les disparus...

Outre le fait de chercher un moyen de ne pas claquer subitement de malnutrition, il faut donc éviter en plus de se faire sauvagement assassiner par des malfrats en mode grosse brute, surement des mercenaires à la solde d'un quelconque individu venu s'enrichir sur cette île des plus mystérieuses...

Si au début du jeu, j'ai été un peu dépaysée, j'ai rapidement ressenti la même excitation que j'avais éprouvée lors des précédents Tomb Raider : il faut retrouver son chemin, résoudre quelques énigmes, entrer dans des tombeaux et sauver sa peau, ainsi que celle de ses coéquipiers, si possible... Agrémenté de quelques cinématiques dont l'action ne manque pas, tel un crash d'avion ou l'escalade d'une tour radio assez stressante, je ne m'ennuie pas un seul instant, même si j'en viens quelques fois à perdre le fil du scénario... Quelques défis et quêtes optionnelles complètent cette histoire, il faut par exemple trouver différentes reliques ou des pages de journal de différents protagonistes...

Au moment ou j'écris ces lignes, je viens de découvrir l'existence d'un immense soldat en mode samurai zombie qui n'a pas l'air commode et qui rajoute une touche de fantastique des plus délicieuses, et Lara se trouve en ce moment même au milieu d'un océan de cadavres en putréfaction... J'ai presque l'odeur de la viande pas fraiche dans les narines... L'acquisition de nouvelles armes telles le pistolet ou le fusil à pompe sont d'une grande aide, je pense que mon arc aurait été un peu faiblard devant ce garde tempête...

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 Resident Evil...

Au fur et à mesure de l'intrigue, je me rend compte que l'île est encore plus craignos que ce que je pensais, et que certains niveaux me font carrément flipper... j'adore. Oui, j'adore avoir les foies devant un jeu ;) Certaines étapes telles que celle se déroulant dans le bidonville, ou la grotte ou les futurs Solarii apprenent à se manger entre eux, sont carrément morbides, et on a l"impression de se retrouver dans un film genre Silent Hill... Je vais pas vous mentir, j'ai hate de dégager d'ici =P

Le jeu se termine avec une fin attendue et sans trop de surprise, après un boss de fin qui ne fut pas insurmontable... Lara a vu tellement de choses abominables que son caractère en a prit un coup ! Elle a apprit à ne plus épprouver de pitié pour personne, une survivante est née...

J'ai adoré découvrir les différents niveaux du jeu, les nouveaux lieux, les tombeaux secrets... En bref, ce jeu est une petite merveille. Mon petit pavé s'arrêtera donc sur ce bilan : c'est un jeu que je conseille particulièrement, tant au niveau des graphismes majestueux que de l'intrigue pas mal ficelée. Le gameplay est vachement agréable, même si l'on a peu l'occasion d'utiliser toutes les techniques de combat. J'ai quelques petits couacs qui viennent assombrir le tout cependant. La durée de vie du jeu est d'environ une dizaine d'heure, et c'est dommage car avec un jeu de cette qualité, le double aurait été plus satisfaisant. Je regrette également l'introduction de Mathias dans le scénario, car finalement, à part en ramassant les pages de son journal égarées sur l'île, le grand méchant de l'histoire n'est jamais introduit correctement, et on ne sait pas trop qui il est ni d'ou il vient ni quel est sont but ultime...

J'espère que ce petit résumé vous a plu et qu'il vous a donné envie de jouer à ce jeu, ci ce n'est déjà fait ;) Ma barre de progression est actuellement de 70%, il ne me reste plus qu'à combler tout ça, et pourquoi pas, recommencer le jeu, mais cette fois en mode difficile =P

A la prochaine ! 

Ma note : 17/20 

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05/09/2012

God of war II

ME0000807463_2_t_800.jpgAnnée : 2007

Support : PS2

Synopsis : God of War II est la suite de God of war sortit en 2005. Kratos est le nouveau dieu de la guerre depuis sa victoire contre Ares. Seulement au fur et a mesure de ses victoires et de ses conquètes, Zeus, le roi de l'Olympe, craint pour son règne et détrone Kratos de son piedestal. Kratos jure alors de se venger, mais pour cela, il doit d'abord sortir des enfers et retrouver ses pouvoirs...

Mon avis : Je n'ai jamais joué au 1, donc j'arrivais un peu en cours de route, mais surprise, ce n'est pas du tout genant ^^" L'histoire est bien menée, les graphismes sont très appréciables, le gameplay est sympa. De nombreuses attaques, diverses et variées sur plusieurs niveaux, beaucoup d'enemies différents... Et j'adhère complètement à l'univers ! C'est vraiment un plaisir de vagabonder en Grèce ancienne, et de rencontrer des personnages mythologiques tels que Pegase, Promethée, Zeus, Thésée...

 

 

Le jeu en lui même n'est pas reellement compliqué (je n'ai galéré que pour battre Thésée...) et il se finit rapidement, mais on passe un bon moment (on devient même aussi sadique que Kratos en explosant la tête des enemis toutes les cinq minutes ^^) De plus, les décors sont somptueux et les combats très dynamiques ! Petit couac pour la vf, que j'ai trouvé moyenne (il y a même quelques dialogues que je ne comprenais pas du tout, du à une mauvaise bande son, et certaines voix de doublages ne collaient pas du tout aux personnages), mais cela reste un détail que l'on peut oublier et qui n'enlève rien à la qualité générale du jeu. God of war II est donc un bon opus, que je ne peux malheureusement pas comparer aux autres, ne les possedant pas ^^ On passe un bon moment, à éventrer et décapiter, certes =) Mais en étant un dieu de la guerre déchu n'aimant pas vraiment perdre, il fallait s'y attendre ;)

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Ma note : 14/20

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