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09/10/2014

Tokyo Ghoul

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 Année : 2014

Genre : Fantastique, Thriller, Horreur

Épisodes : 12

Synopsis : Kaneki Ken est un jeune garçon assez réservé qui adore la lecture et passer du temps avec son meilleur ami Nagachika Hideyoshi. Malgré sa timidité, Kaneki a remarqué une jeune fille qui lui plait dans le café qu'il fréquente, et qui a l'air d'avoir les même centres d'intérêts que lui. Lors d'un rendez-vous ou tout semblait se passer pour le mieux, la jeune femme en question nommée Kamishira Rize attaque Kaneki et essaye de le dévorer. Il découvre à ses dépends que la demoiselle est en réalité une goule, un être se nourrissant de chair humaine et vivant caché parmi les humains. Suivant l'attaque, Kaneki se retrouve à l’hôpital, après une greffe d'organes venant de la défunte Rize. Il devient alors mi-goule, mi humain.

 

Mon avis : Si le synopsis ressemble de près ou de loin aux histoires que j'adore suivre, Tokyo Ghoul fait partie de mes légères déceptions de l'été. J'avais déjà eu l'occasion de lire les premiers chapitres de la version papier de Ishida Sui, qui avec un dessin assez original et une histoire inquiétante et sombre méritait une attention particulière. A la sortie de la version animée en simulcast sur Wakanim, je me suis jetée dessus, ni une ni deux, curieuse de découvrir la suite.

Cela étant, mon enthousiasme s'est vite dissipé, même si l'ensemble de la série reste tout à fait correct. En fait, il y a pas mal de choses que j'ai aimé, mais aussi beaucoup qui m'ont déçues. Faisons comme à mon habitude, et commençons par le début !

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L'opening est un de mes favoris de l'été : Unravel de Ling Tosite Sigure (a qui l'on doit abnormalize, le premier opening de Psycho Pass). La musique de l'ending est également excellente (Seijatachi de People in the Box), agrémentée en plus par des illustrations sublimes. De ce côté ci rien à redire, les choix ont été judicieux.

Mais dès l'opening dépassé, il n'y a plus grand chose pour nous donner des frissons. Si le chara design n'est pas désagréable, l'animation est bien moyenne pour une histoire comportant pas mal de scènes d'action. Ces dernière souffrent de ce handicap en étant peu fluides et du coup beaucoup moins impressionnantes qu'elles n'auraient pu l'être. On se retrouve un peu blasé, avec une impression de "ça aurait pu être mieux". Remuant encore le couteau dans la plaie, la censure  peu discrète vient augmenter notre frustration en rajoutant un fond noir sur chaque scène ou le débit de sang à la minute est un peu trop important. Dans ce genre d'anime et avec un thème pareil, autant vous dire que la censure survient une à deux fois par épisode si ce n'est plus, ce qui est particulièrement agaçant.

D'un point de vue technique, on est donc loin de la grande qualité que j'attendais à la base (serais-je devenue trop difficile ?).

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Du côté de l'histoire, le bilan est assez similaire. J'ai apprécié les premiers épisodes, ou l'on découvre un Kaneki terrifié suite à sa nouvelle condition, se battant contre la faim qui lui soulève les tripes chaque secondes. Par contre, j'ai réellement eu du mal à me concentrer sur la suite. J'ai en effet trouvé l'histoire assez basique (les humains cherchent à éradiquer les goules, certaines d'entre elles se font discrètes mais d'autres cherchent à prendre le pouvoir). De plus, j'ai eu beaucoup de mal à apprécier les personnages, et en fait mis à part Kaneki ou Rize, très peu m'ont plu.  

Les derniers épisodes étaient intéressants, même si encore une fois on est pas visuellement devant quelque chose d'exceptionnel. On assiste à une torture assez insoutenable, lorsque vient enfin l'abandon de Kaneki face à l'esprit de Rize. Il devient alors cette goule aux cheveux blancs, qui aura su se faire attendre tout au long de la série.

Plus un pour le masque, il est trop classe. Et vous sinon ?

Ma note : 12/20

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25/09/2014

Haikyu!!

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hai2.jpgAnnée : 2014anime2014.png

Genre : Sport

Épisodes : 25

Synopsis : Hinata Shôyo est un fan invétéré de volley, malgré le fait qu'il soit petit. Il entre au lycée Karasuno pour suivre les traces de son idole, le "Petit Géant", un grand joueur qui était également plus petit que la moyenne. Hinata y fait la connaissance de Kageyama Tobio, un garçon qu'il a eu l'occasion d'affronter lors d'un match en inter-collège. Ce dernier était alors arrogant et jouait très perso. Ces deux là vont-ils réussir à s'accorder maintenant qu'ils sont du même côté du filet ?

 

Mon avis : J'en suis encore toute retournée tant Haikyu!! fut une série surprenante. Déjà, énorme coup de cœur pour le chara design, très fidèle au manga et très agréable à regarder. L'animation est sympatoche, c'est joli, c'est propre et fluide, bref visuellement ça n'envie rien à personne. Les musiques sont assez transparentes malgrés des opening et ending sympas, mais on y pense à peine tant les personnages nous emmènent avec eux dans l'histoire, bien que le scénario soit typiquement shônen sportif, il faut quand même le préciser. On est captivé du début à la fin par le combat qui se fait entre les différentes équipes et on se demande chaque seconde quelle autre technique va faire sortir l'une ou l'autre du lot.

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Hinata et Tobio vont, à l'instar de Kagami et Kuroko dans Kuroko no Basket, former une paire dont les techniques se complètent. Ils deviennent l'effet de surprise de l'équipe de Karasuno, l'as dans la manche dont personne ne soupçonne l'existence. Ils vont apprendre à se connaitre, apprendre le jeu de l'autre dans les moindres détails pour pouvoir en tirer le meilleur profit. Mais ils ne sont pas seuls ! Les autres membres de l'équipe sont là, et ont plus d'un tour dans leur sac. J'adore littéralement chaque personnage de cette série. Aucun ne m'a rebuté par son caractère ou sa personnalité, et pourtant tous sont bien différents ! Ils sont drôles et attachants, émouvants et sympathiques chacun à leur façon. Et même si certains sont encore peu abordés (comme Tsukishima que l'on voit finalement assez peu ou Yamaguchi qui a encore moins de passages lui étant consacrés), on se doute que ce n'est qu'une question de temps, et qu'il vont à leur tour avoir leur moment de gloire.

J'ai ri de nombreuses fois, gros bonus pour l'humour très présent dans la série.

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J'ai été terriblement surprise et émue par la fin. Le suspense est bien dosé, les cliffhangers ne sont pas trop horribles à supporter (un peu lors des derniers épisodes, tant le match contre Aôba Josaï est prenant). Cette série est donc une excellente expérience de sport, moi qui en plus n'y connait rien en volley (j'en ai fait au lycée, comme tout le monde...). J'ai d'ailleurs pu me la peter lors d'un repas de famille en expliquant le rôle d'un libéro dans une équipe. J'étais fière.

L'équipe de Karasuno est encore toute jeune, et pour ma part je ne serais pas contre une petite saison 2 pour la voir évoluer. Même une grande tiens. En attendant on peut toujours lire le manga de Furudate Haruichi édité chez Pika !

Haikyu!! est mon coup de cœur anime 2014, bravo le veau !

Ma note : 16/20

 

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22/09/2014

Aldnoah Zero

ald1.jpgAnnée : 2014

Genre : Action, Science Fiction, Mecha 

Épisodes: 12

Synopsis : En 1972, les astronautes d'Apollo 17 découvrent sur la Lune un portail doté de l'énergie Aldnoah, une entité ancestrale. Ce portail mène vers la planète Mars et permet alors à de nombreux humains de coloniser la planète.

En 1999, les colons forment à présent l'Empire Vers et déclarent la guerre à la Terre, ayant épuisé les ressources de leur propre planète. Mais les conflits entraînent la destruction d'une partie de la Lune et du portail y résidant. Cette catastrophe fut appelée Heaven's Fall et mit temporairement fin à la guerre entre les Martiens et les Terriens.

Des années plus tard, la Princesse Asseylum Vers Allusia, héritière de l'Empire Vers se rend sur Terre en signe de paix. Kaizuka Inaho est un adolescent terrien réserviste militaire. Slaine Troyard est un habitant de Mars étant très attaché à la Princesse.

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Mon avis : Encore une anime que je n'avais pas prévu de voir. Je me félicite grandement de m'être ravisé (regardez la note, elle parle d'elle même).

J'ai débuté l'épisode 1 sans a priori, avec juste quelques échos comme quoi "c'était une des meilleures animes de la saison" (ce qui m'a un peu titillé quand même, j'avoue). Ce premier épisode a carrément tenu ses promesses, étant donné que je m'en suis fait trois autres dans la foulée. Mais comme je suis un être humain et qu'à un moment, le sommeil devient vital, j'ai remis la suite à plus tard.

Lorsque j'ai repris, ce fut pour me faire tout le reste d'un coup, jusqu'à l'épisode 12 sorti il y a peu sur Crunchyroll. Je n'ai pas eu le temps de respirer tant l'action était captivante. 

Le personnage principal est Inaho, ce jeune garçon silencieux mais très intelligent, ayant un instinct de pur génie. Je ne pensais pas qu'un personnage si calme et inexpressif pouvait posséder en même temps autant de charisme.

Il est a lui tout seul un si fin stratège que ses missions se terminent à chaque fois par une victoire, malgré la différence de technologie entre les deux camps, favorisant de ce fait le peuple de Mars. Je l'ai vraiment beaucoup aimé, on se demande si on arrivera à entrevoir ses émotions à un moment ou à un autre ou s'il gardera cette coquille qui l'entoure à jamais, comme une barrière protectrice.

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Le second personnage principal est Slayne. Il est terrien lui aussi, mais par un concours de circonstances s'est retrouvé sur Mars en tant que sous-fifre d'un "Chevalier Orbital", vassal de l'Empereur Vers. Au contraire d'Inaho, Slayne laisse déborder ses émotions comme s'il était lui même un vase se remplissant d'eau. Il est si transparent qu'il en devient démuni face à autrui, son honnêteté devenant alors sa plus grande faiblesse. Sa seule lumière dans ce monde impitoyable est la Princesse, qui l'a sauvé des années plus tôt. J'ai également beaucoup apprécié ce personnage, fidèle à ses convictions et loyal jusqu'au bout, sans pour autant oublier ses objectifs. Ni comment se battre pour les atteindre.

Ce sont ces deux individus que l'on suit d'un bout à l'autre de la série. Ils ne se verront en tout et pour tout qu'une seule fois lors de ces douze épisodes, mais ont pourtant des destinés étroitement liées. Au milieu de ces deux là, il y a cette Princesse, dont l'innocente naïveté sera responsable du conflit entre les deux planètes. 

Le chara design n'est pas nouveau, mais il se dégage une certaine douceur des traits qui mêlée à l'animation parfaite fut responsable de mon émerveillement.

J'ai d'ailleurs un peu pensé à Suisei no Gargantia, de par certains thèmes similaires en plus. Il y a de nombreux autres personnages, pas aussi abordés cela dit. Seuls quelques uns font exception, comme Marito par exemple.

L'anime en elle-même est ensuite un concentré d'action ou se mélange de manière adroite un scénario dans la pure tradition SF. Les méchas appelés ici Cataphracte permettent de nous montrer des scènes de combats dignes des plus grandes animes du genre. La fin quand à elle est abrupte. Logique et émouvante, mais je mentirais si je ne disais pas qu'en plus de la tristesse j'ai aussi ressenti une énorme frustration.

La musique quand à elle est énorme, ce qu'il faut pour que vous en ayez des palpitations. Je suis hyper fan d'un des deux endings : "aLIEz" de Sawano Hiroyuki. Pour finir, Aldnoah Zero est une série que je conseille absolument, et je la considère effectivement comme "une des meilleures de la saison".

"- T'as pas tout vu, c'est un peu culotté de dire ça !

- ... Je suis sure que c'est le cas, d'abord, na."

La suite arrivera en janvier 2015. Keep calm and watch anime.

Ma note : 18/20

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19/09/2014

Kuroshitsuji : Book of Circus

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book2.jpgAnnée : 2014

Genre : Fantastique, Mystère

Épisodes : 10

Synopsis : De mystérieuses disparitions d'enfants ont été remarquées au cœur de Londres, coïncidant étrangement avec l'arrivée du Cirque de Noé en ville. Ciel Phamtomhive est chargé, en tant que chien de garde de la reine Victoria, d'élucider l'affaire avec l'aide précieuse de son fidèle mais démoniaque majordome, Sebastian Michaëlis.

Mon avis : Cela faisait quatre ans et des poussières que l'on avait quitté Ciel et Sebastian lors de la saison 2 de Kuroshitsuji. Si la première saison reprenait avec beaucoup de libertés le manga papier (pour s'en éloigner carrément par la suite), la seconde saison était un arc hors série, incluant une histoire inédite et des personnages totalement nouveaux.

 

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De son côté, Book of Circus faisant office de saison 3 est un arc reprenant de nouveau le fil du manga de Yana Toboso, mais se situant chronologiquement avant la fin de la saison 1. L'anime a été diffusée en simulcast tout l'été sur la plateforme ADN.

N'allant pas jusqu'à dire que je suis une fan invétérée de la franchise, je passe souvent un bon moment devant les épisodes de cette série, de par un postulat de base intéressant (la relation entre Ciel et Sebastian, le pacte qui les lie), des arcs bien traités agrémentés de personnages hauts en couleurs, et une animation correcte.

Commençons par le commencement : l'opening est super fun et je vous invite dès à présent à le découvrir, il s'agit d'ENAMEL de Sid. L'ending quant à lui est Aoki Tsuki Mishite d'Akira, très touchant.

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Les personnages principaux sont toujours fidèles à eux même : Ciel, l'orphelin arrogant ne souhaitant que se venger de ce qu'il a subit dans son enfance et Sebastian, le majordome au regard malicieux et au sourire en coin. Ce dernier est en réalité un démon ayant pactisé avec Ciel dans le seul but de se nourrir de son âme. Leur mission à tout deux les invite à s'infiltrer à l'intérieur même du cirque, ou l'on découvre une bande d'infirmes reconvertis en artistes : de Jambo le cracheur de feu à Joker le jongleur en passant par Beast la dompteuse de boobs-... heu de tigres.

"- Tu dis ça parce qu'elle a deux énoooooormes...

- Poumons. Deux énormes poumons."

Au fil des épisodes, on en apprend un peu plus sur ces joyeux lurons, mais en fait, pas autant que je l’espérais. Avec seulement 10 épisodes, on ne s'étend pas trop, et l'on a seulement une approche globale de leur caractère et de leur personnalité. Certains sont même quasiment absent et très peu abordés malgré leur potentiel, comme Snake par exemple. On retrouve également des anciens personnages tels qu'Undertaker, les différents domestiques  ou les Shinigami.

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Reste que le scénario aurait mérité d'être un poil plus approfondi. La fin arrive un peu trop rapidement et l'on est à peine embarqué dans l'histoire qu'elle est déjà terminée. D'ailleurs, que pensez-vous de la fin ? Pour ma part, je l'ai trouvée cruelle : Ciel manque de compassion, pour une situation qui ressemble pourtant à celle de son enfance. Il est le mieux placé pour comprendre, mais il ne fait pas d'efforts et ferme les yeux, sans aucune pitié.

Sinon j'ai beaucoup apprécié l'OST qui ponctue les épisodes de morceaux tout à fait dans le thème du cirque et du Londres victorien.

Deux OAV sont attendues à la fin de l'année, couvrant un autre arc de la série et intitulé Book of Murder. Bref, Kuroshitsuji, c'est pas fini ! 

Ma note : 13/20

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13/08/2014

Isshuukan Friends

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Année : 2014

Genre : School Life, Slice of life, Romance

Épisodes : 12

Synopsis : Hase Yuki est un lycéen tout ce qu'il y a de plus normal, excepté le fait qu'il a des sentiments pour l'une de ses camarades : Fujimiya Kaori. Cette dernière ne se fait pas trop remarquer en classe, est souvent seule et a l'air particulièrement froide, mais cela n'a jamais empêché Yuki de désirer secrètement être son ami. Prenant son courage à deux mains, le jeune garçon va lui adresser la parole, malgré sa timidité. Cette dernière au début réticente à devenir proche de lui va finalement céder, mais en lui avouant au passage son plus lourd secret : chaque semaine, elle perd tous les souvenirs qui concernent ses amis... 

Mon avis : Je me suis laissée tenter par Isshuukan Friends (littéralement "Amis d'une semaine"), car je sentais le drame derrière cette romance lycéenne, et il y a des jours comme ça ou je suis un peu maso et ou j'ai envie de pleurer un bon coup histoire de me purger, m'voyez ! Je m'attendais à un Clannad un peu revisité, et bien qu'empreint de mignonnerie, Isshuukan Friends n'a pas vraiment réussi à me transporter au firmament de la tristesse et de la pleurnicherie chronique, comme After Story a su brillamment le faire.

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Il n'en reste pas moins agréable à suivre dans le genre, en possédant son lot de personnages attachants. J'ai beaucoup aimé  Shôgo, l'ami de Yuki qui bien que faignant le je-m'en-foutisme n'hésite jamais à conseiller son ami. Après, il faut avouer que le thème est un peu redondant : chaque semaine, Kaori oublie tout ce qui concerne ses amis. Elle comble cet oubli par la lecture de son journal intime, sur lequel elle note tout ce qui lui arrive lors de la semaine et qui constitue tout ce qu'elle aura oublié la semaine suivante. On a un peu une impression de stagnation : Kaori n'a que peu de changement concernant sa mémoire, malgré le fait que Yuki tienne bon et se présente de nouveau à elle tous les lundi. Et puis tout recommence inlassablement avec cependant tout deux-trois rebondissement venant ponctuer le tout.

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Donc c'est mignon hein, mais moi quand y'a pas au moins une explosion et des morts, bah je me demande ce qui se passe ! Ce n'est donc qu'une simple question de gout, et je concède que cette série puisse plaire à certains plus qu'à d'autre de par son sujet abordant le contact humain et les relations avec les autres. Par contre, j'avoue que c'est assez joli, on est entouré de tons pastels du début à la fin, ça détend.

Après, je regarderai bien le manga papier de Hazuki Maccha, histoire de voir ou tout cela nous mène. Oui, je suis un peu curieuse de connaitre la suite du coup, ce qui est un bon point. 

Ma note : 12/20

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06/08/2014

Baccano !

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Année : 2007 

Genre : Fantastique, Action

Épisodes : 13 + 3 OAV

Synopsis : En 1932, la jeune Carole est l'assistante du directeur du journal local, le Daily Days. Tout deux s'interrogent sur les étranges événement ayant eu lieu quelques années plus tôt, et se demandent par ou commencer cette histoire.

En 1711 et à bord d'un navire en route pour l'Amérique, plusieurs alchimistes réveillent une entité qui leur offre l'immortalité en cadeau... Mais ce présent va réveiller chez certains sujets des avis contraires menant à plusieurs tensions. 

 

En 1930, Maiza et Firo sont membres du clan Martillo, branche mafieuse influente à New York. Il se trouve qu'une vieille connaissance de Maiza a réussi a se procurer un élixir d'immortalité et va chercher à la commercialiser, entraînant divers conflits dans la ville en y mêlant plusieurs autres clans.

En 1931, nous sommes à bord du "Flying Pussyfoot", un train en direction de New York. Entre la bande de Ladd Russo, le clan de Jacuzzi, le Rail Tracer et le groupe souhaitant la libération de Huey Laforêt, on ne sait plus vraiment ou donner de la tête.

En 1932 de nouveau, Eve Genoard recherche son frère, Dallas, disparu depuis quelques temps.

Quant à Isaac et Miria, il sont là, un peu partout à la fois, et surtout via un heureux hasard.

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Mon avis : Quelle série, mais quelle série ! Génialissime, brillante, et épatante, sans aucun doute. J'ai acheté l'intégrale à Japan Expo, et je ne regrette absolument pas tant cette histoire est un concentré de pure action, abordée de manière complètement délirante mais assumée.

C'est quelques choses que j'ai répété plusieurs fois au cours des différents articles que j'ai rédigé sur ce blog, mais j'affectionne beaucoup les histoires que l'on doit remettre dans un ordre chronologique soi-même, après avoir reçu des informations sous la forme de pièces de puzzle à disposer ensuite à la bonne place. Baccano! est, pour vous donner une petite idée, un puzzle de dix mille pièces que vous devez raccorder parfaitement entre elles avec les pieds et en ayant les yeux bandés. Un défi tumultueux mais ô combien excitant (à supposer qu'un tel puzzle puisse l'être, hm, ceci est un autre débat).

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Au premier abord, on peut avoir cette impression de what the fuck total, dû notamment au nombre de personnages tellement important qu'il m'est impossible de vous donner un chiffre exact. Baccano! est en fait une seule histoire composée de multiples autres intrigues dont dépendent plus ou moins de personnages et ayant un impact plus ou moins important sur la suite des événements. Les scènes s’enchaînent sans temps mort, on change d'époque, on change de lieu, on change de personnages et c'est à nous, spectateur au cerveau en ébullition, de nous placer sur une timeline pour nous y retrouver dans tout ce bazar.

Le tout devient passionnant, et l'ambiance jazzy des années 30 apporte énormément. Impossible d'ailleurs de ne pas citer cet opening qui déboîte tout sur son passage : Gun's and Roses de Paradise Lunch.

L'animation n'a rien a envier au reste, la série est de très bonne qualité. Le scénario est excellent et est ponctué sans relâche par un humour potache et décalé, Isaac et Miria y étant pour beaucoup. Les OAV quant à elles constituent à elles trois un épilogue qui n'est pas vraiment nécessaire à la compréhension globale de la série mais qui peut apporter des réponses supplémentaires, sur l'avenir de certains personnages secondaires par exemple. 

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Dans le genre, Durarara ! est forgé dans le même moule, et d'ailleurs il s'agit du même studio et du même réalisateur. On ne s’ennuie jamais, on n'en a pas le temps.

Je vous incite, invite, ordonne de regarder Baccano!, très bonne série qui a le mérite d'être menée d'une manière tout à fait originale et qui se place dans mon top personnel. On peut juste regretter que la foultitude de personnages nous empêche finalement de trop nous attacher, même si on peut quand même avoir notre petit préféré. Je regrette également que certaines choses soient sans réponse ou disons un peu vague (finalement, qu'est devenu Dallas ?) mais ce n'est rien comparé à la bombe thermonucléaire que constitue cette série =)

Ma note : 18/20

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14/07/2014

No Game no Life

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Année : 2014

Genre : Comédie, Fantastique

Épisodes : 12

Synopsis : Sora et sa sœur Shiro sont des hikikomori : ils ne sont jamais sortis de chez eux et passent leur temps à jouer à toutes sortes de jeux sur internet. Un jour, ils reçoivent un message d'un mystérieux inconnu les mettant au défi de le vaincre à un jeu d'échecs en ligne. Surs d'eux, Sora et Shiro acceptent et remportent la victoire. Mais à la fin de la partie, ils sont transportés dans un autre monde ! Ils apparaissent dans un MMO du nom de Disboard régie par 10 règles strictes et ou les gens combattent en jouant... Tet, le Dieu de ce monde et leur adversaire aux échecs leur propose de commencer une partie, et de venir le retrouver pour le battre à nouveau. Fatigués du monde réel, Sora et Shiro démarrent l'aventure.

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Mon avis : Pas mal ! Pas parfait, mais assez distrayant quand même. Cette histoire est tirée de light novels écrites par Kamiya Yu, un manga a également débuté en 2013. J'ai eu un petit coup de cœur pour les deux personnages principaux : Sora, accro au jeu et surtout au bluff, il use d'astuces et de ruse pour mener à la victoire et a toujours trois coups d'avance sur son adversaire. Shiro quant à elle est un petit génie : elle gagne en utilisant son intelligence hors du commun. Ce duo pour le moins original et inséparable devient alors imbattable quelque soit le jeu. 

Ces deux gus arrivent dans ce monde inconnu, mais heureux de quitter le monde réel qu'ils n'aiment pas et qu'ils ne trouvaient pas amusant. Ici, tout est décidé par le jeu, et même l'héritage d'un royaume. C'est ainsi que Sora et Shiro vont se mettre en quète de territoire de plus en plus étendu. D'abord celui d'Imanity, puis celui des Hommes Bêtes et pourquoi pas celui des Elfes. Le but ultime est de rejoindre Tet, le Dieu de ce monde, qui a l'air d'un jeune garçon assez espiègle.

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L'animation est correcte, mais je regrette l'omniprésence de rose dans les couleurs, ça fini par me violer les yeux. Je n'ai pas non plus accroché au côté ecchi un peu trop redondant et pas franchement utile dans cette histoire. Et puis même si Sora a du charisme à revendre, il manque un ou deux autres personnages masculins.

Mais globalement, je me suis bien amusée à regarder cette série ! Il y a pas mal d'humour et de clins d’œil à d'autres séries ou jeux, notamment grâce au côté geek de nos deux héros. Ces derniers s'éclatent, et profitent de la vie dans un monde qui n'est pas le leur. La fin est ouverte, et laisse présager que l'aventure ne fait que commencer pour nos deux joueurs. Y'aura t-il une saison 2 ? Aucune idée, mais il y a matière à réflexion ;) 

Ma note : 14/20

 

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01/05/2014

Pupa

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Année : 2013

Genre : Mystère, Horreur

Épisodes : 12

Synopsis : Utsutsu et sa sœur Yume sont très proches, et le jeune garçon a juré de protéger sa sœur, notamment contre leur père qui s'est montré violent par le passé. Un jour que Yume se balade en attendant que son frère sorte du lycée, elle croise un papillon rouge qui la contamine par un virus étrange. La jeune fille se transforme alors en un monstre assoiffé de sang et se nourrissant de chair humaine. Utsutsu va continuer de protéger sa sœur notamment contre elle-même, et va essayer de la faire redevenir normale.

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Mon avis : Pupa est une adaptation du manga du même nom de Motegi Sayaka. La série est terminée en 5 tomes mais est uniquement licenciée au Japon. En France, c'est Dybex qui s'est chargé du simulcast, alors on va en parler. Oui oui, on va en parler, parce que voilà quoi.

On va commencer par le positif, parce que je suis pas un monstre et que tout n'est pas à jeter dans cette anime ;). Pour commencer, l'opening intitulé "Pupa" (dans un élan d'originalité) et interprété par Kido Ibuki et Konishi Kayo est très bien. Assez esthétique, on a droit à une musique entraînante qui annonce quelque chose de grandiose et de macabre, même si dans la réalité il en est tout autre. 

Le scénario à l'air pas mal à première vue : les deux adolescents se retrouvent dans une situation particulière. D'un côté la jeune Yume est totalement innocente et pure mais se trouve être aussi une monstruosité dont la violence est sans pareille. D'un autre côté nous avons Utsutsu, qui bien que conscient de la dangerosité de sa sœur, ne peut s'empêcher de vouloir la protéger. Et en plus son nom est dur à prononcer. Nous sommes donc au milieu d'un mic-mac psychologique qui aurait pu nous faire philosopher sur la question du bien, du mal, de la violence, de la survie, de l'amour familial et du prix qu'il peut coûter. Mais non, parce que, arf, ce serait trop facile sinon.

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Car l'anime souffre d'un énorme défaut : les épisodes durent 3 minutes chacun. Et il n'est pas nécessaire de préciser que c'est un peu juste pour aller au fond des choses, quand on raconte une histoire. Le scénario que l'on attend n'est donc clairement pas adapté à la réalisation et ne couvre par conséquent qu'une partie limitée du manga. L'impression que j'ai eu au visionnage est celle d'un fouilli total, de non-sens, de je-veux-essayer-de-te-raconter-un-truc-mais-trois-minutes-c'est-trop-court-alors-je-m'arrête-là. Le gore n'apporte rien, notamment à cause de la censure qui enlève l'impact censé être ressenti lors de la scène. Ainsi, il donne simplement le sentiment de combler le vide de l'anime qui au final se retrouve être très ennuyante, malgré la durée courte des épisodes. L'épisode ou Yume dévore son frère au fur et à mesure qu'il se régénère est bien crade, au sens ou toute la scène est auditive (on voit rien, mais on entend tout) : alors les bruits de déglutition et de machouille anthropophage, ça va bien 30 secondes, mais ensuite ça fait mal au bide. 

Les décors et les graphismes en général peuvent soit donner l'impression d'un croquis à l'encre, soit donner l'impression d'être grossiers et brouillons, au choix. Et je suis assez partagée sur ce point... La musique quant à elle est assez redondante et simplette.

Pour faire simple : je n'ai pas aimé, même si un certain intérêt s'est éveillé en moi pour le manga. Ce n'est pas une mauvaise histoire, simplement une mauvaise adaptation. L'anime s'arrête aussi vite qu'elle a commencé, et on termine avec l'impression de n'avoir rien compris du tout, tant on ne nous a pas raconté grand chose...

Ma note : 6/20 

 

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06/04/2014

Hamatora

hamatora_2982.jpgAnnée : 2014

Genre : Comédie, Fantastique, Mystère

Épisodes : 12

Synopsis : Dans la ville de Yokohama siège l'agence de détectives Hamatora. Composée des deux garçons, Nice et Murasaki, l'agence s'évertue, avec l'aide de quelques amis, de résoudre les enquêtes qu'on leur propose. Dans cette ville, certains individus appelés Détenteurs sont nés avec des facultés particulières appelées Minimum, et Nice et Murasaki en font partie : Nice peut se déplacer à la vitesse du son tandis que Murasaki possède une force incroyable. Art, une de leur connaissance faisant partie de la police, leur annonce un jour qu'il faut se montrer prudent, car plusieurs Détenteurs ont été retrouvés morts dernièrement, et leur cerveau a disparu...

 

 

Mon avis : Hm. Hamatora fut une de mes découvertes empoisonnées, si je puis dire. En effet, j'ai été bien emballée par le premier épisode : la réalisation était très propre, le chara design simple, accompagné de couleurs qui m'ont au début décollées la rétine mais qui ont su me plaire quand même. L'animation était plus que correcte et le principe de l'agence de jeunes détectives était certes déjà vu mais évoluait dans un environnement ou des meurtres avaient lieu, ce qui promettait d'être intéressant et sérieux.

Hélas, Hamatora s'est très vite retrouvée être une simple comédie, avec des épisodes peu passionnants voire carrément what the fuck. Les meurtres se révèlent être l'acte du méchant le moins charismatique de l'univers, dont l'objectif est plus qu'obscur. La série se veut une critique de la société et de l'égalité des chances, mais est finalement bien trop fade pour avoir un quelconque impact. De plus, le chara design et l'animation s'essoufflent grandement après quelques épisodes, révélant ainsi le manque cruel de substance de cette anime.

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Alors si l'histoire ne m'a pas particulièrement plu (en fait il s'agit d'un genre de X-men raté à la sauce nippone), certaines scènes m'ont quand même faites écarquiller les yeux de surprise, et c'est ce que j'aime ressentir quand je regarde quelque chose : l'assassinat d'un certain personnage (j'évite le spoil, vu que c'est une des seules choses que j'ai apprécié, ce serait dommage de la dévoiler =) ) ainsi que la toute dernière scène de l'anime, en mode cliffhanger de la mort qui tue.

Seul le personnage de Art m'a vraiment interpellé. Nice et Murasaki sont assez sobres, Murasaki est même carrément aussi invisible que les personnages secondaires alors qu'il est quand même l'associé de Nice. Ce dernier à l'air d'être un gentil garçon qui ferait tout pour ses amis, mais il ne m'a pas convaincu, même si je ne le déteste pas pour autant. Les personnages secondaires sont plus ou moins agréables à suivre, quoi qu'assez inutiles dans le contexte de l'enquête principale mêlant les meurtres de détenteurs.

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La suite de Hamatora est prévu cet été, au mois de juillet. Je regarderai la suite à cause de ce stupide (mais apprécié) cliffhanger final, mais dans l'ensemble, cela reste une série que je n'ai pas vraiment aimé de par tout ce que j'ai cité au dessus. Je n'ai même pas aimé l'opening, même si l'ending se laisse écouter par contre. Peut-être que la seconde partie relèvera le niveau, qui sait ?

Ma note : 9/20

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25/03/2014

Noragami

nora1.jpgAnnée : 2013

Genre : Comédie, Fantastique

Épisodes : 12

Synopsis : Yato est un Dieu qui rêve de posséder un immense sanctuaire, d'être adoré de tous et de manier plusieurs Instruments Divins. Les Instruments Divins sont des individus se transformant en armes et aidant les Dieux à vaincre des créatures spectrales nommés les Ayakashis, qui perturbent le monde des humains. Mais voilà, le seul Instrument Divin de Yato démissionne, car la réalité est là : il n'a aucun adorateur et n'a même pas de travail. Les choses vont changer peu à peu le jour ou il rencontrera Iki Hiyori, puis Yukine.

Mon avis : Cette série est tirée du manga du même nom de Adachi Toka prépublié depuis 2010 dans le Gekkan Shonen Magazine. Si le début de la série animée est identique, la fin s'en éloigne quelque peu (le manga est toujours en cours), du notamment au format court de 12 épisodes qui est un peu limitant.

Yato est le Dieu qui tente vaille que vaille de trouver du boulot, via les souhaits des humains qu'il s'empresse de réaliser en échange d'une pièce de 5 yens. Mais un jour qu'il manque de se faire écraser par un camion (qui n'aurait de toute façon pas pu lui faire le moindre mal), il rencontre Hiyori, qui par ce face à face se retrouve mêlée au monde dangereux des esprits. La demoiselle tombe sous le charme du dieu, mais la romance est vraiment un détail dans cette histoire.

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Hiyori aura désormais le pouvoir de séparer son soi spirituel de son corps afin de vagabonder aux côtés de Yato, jusqu'à ce que celui-ci règle son problème. Car effectivement, Hiyori quitte son corps un peu sans prévenir, le laissant alors endormi n'importe ou et à n'importe quel moment. Cependant, la première urgence de Yato est de retrouver un Instrument Divin, qu'il va rencontrer en la personne de Yukine (un adorable jeune garçon qui a les plus beaux yeux de la terre, soit dit en passant). Mais ce gamin cache bien des secrets, et on ne devient pas un Instrument Divin comme ça. 

Car de nombreux mystères entourent ces individus, et s'ils sont sensés ne servir qu'un seul maître, certains Instruments Divins, les Nora, pourraient bien causer quelques problèmes en ayant plusieurs allégeances...

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Bonne petite comédie, qui sait de plus devenir sérieuse quand il le faut ! Ce fut un plaisir de suivre cette série chaque semaine, car même s'il ne s'agit pas d'une série grandiose et d'un scénario hyper original, les personnages ainsi que leur relations avec les autres sont assez plaisants, de même que l'univers dans lequel ils évoluent. Je ne suis pas certaine qu'une saison 2 verra le jour, mais le manga a les moyens de paraître dans nos contrées, le trait est fin et vachement joli, de plus la série animée à eu un certain succès. Petit bonus, l'opening est juste à tomber par terre : Goya no Machiawase de Hello Sleepwalkers !

Ma note : 14/20

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