23/03/2014
Neon Genesis Evangelion
Année : 1995
Genre : SF, Mecha, Psychological
Épisodes : 26
Synopsis : Il y a des années, une catastrophe appelée le Second Impact a causé des dégâts faramineux à la planète. Les Anges, des créatures aux formes variables sont depuis apparues et attaquent les humains, et plus particulièrement dans la ville de Tokyo-3. La Nerv, une organisation siégeant à Tokyo-3, est chargée de combattre les Anges à l'aide des Eva, des humanoïdes immenses ne pouvant être pilotés que par certaines personnes. Ikari Shinji, un jeune garçon de 14 ans et fils du commandant de la Nerv devient le Third Children, et pilotera dès à présent l'Eva-01 pour protéger l'humanité.
Mon avis : Je tiens à préciser qu'au moment ou j'écris ces lignes, je n'ai vu que la série de 26 épisodes et non tous les films associés (que je regarderai bientôt pour combler mes lacunes, soyez en surs... car il y en a). Ce petit paragraphe est donc directement dépendant des informations dont je dispose et qui sont révélées dans la série. Car si le pitch de base est assez simple à comprendre, la réalité du scénario d'Evangelion est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus complexe (j'suis en manque de superlatifs). Je vais essayer d'être ordonnée dans mes explications, vous saluerez l'effort ;) (Attention aux spoilers donc...)
Shinji est timide, effacé. Il ne vient à Tokyo-3 que dans l'espoir de revoir ce père absent qui l'a abandonné lorsqu'il était jeune, Ikari Gendo. Mais cet homme, commandant de la Nerv nous cache bien des choses, excepté sa véritable nature : c'est une ordure prête à tout pour obtenir ce qu'il souhaite (même si pour le moment, nous ne sommes toujours pas surs de savoir de quoi il s'agit). Shinji se retrouve donc pilote d'un Eva : ces armures colossales, seules ayant le pouvoir de détruire les Anges. Tout au long de la série, on s'interroge souvent sur leur véritable nature : elles sont contrôlées en intégralité informatiquement par la Nerv, mais il ne s'agit pas de robots ou de méchas classiques. On devine que l'on est plutôt en présence d'une créature humanoïde organique et recouverte d'une enveloppe de métal, même si leur présence et leur origine nous échappent. Seuls les adolescents peuvent les contrôler de l'intérieur, grâce à un ralliement de leurs fibres nerveuses ainsi qu'à un mental d'acier. C'est d'ailleurs ce dernier point qui va de temps en temps poser quelques problèmes.
Shinji pilote l'Eva, mais pas de bon coeur. En réalité il a horreur de ça, c'est quelque chose qui ne correspond pas du tout à son caractère. Katsuragi Misato, la femme chargée des opérations lorsqu'un Ange est repéré, va essayer de lui faire comprendre que le destin de l'humanité repose sur son désir de piloter l'Eva. Et le jeune garçon, bien que complètement paumé et croulant sous la pression qu'on lui impose sur les épaules, va finalement accepter de le faire. Mais il n'est pas le seul enfant concerné puisque Ayanami Rei, une jeune fille toute aussi discrète que Shinji, est également pilote. Si le personnage reste bien mystérieux, ses relations amicales avec Gendo et l'attitude paternelle de ce dernier nous font nous poser des questions : quel est son rôle, et pourquoi le père de Shinji est-il si protecteur à son égard ? Nous rencontrons pour finir Asuka Soryu Langley, le troisième pilote, une jeune fille extravertie et insupportable que j'ai eu beaucoup de mal à comprendre et à apprécier au cours de la série (on ne peut pas aimer tout le monde =D).
Mais alors quel est le but des Anges et d'ou viennent-ils ? Pourquoi souhaitent-ils entrer dans le QG de la Nerv ? Si l'essentiel de la série consiste en plusieurs arcs visant à détruire les différents Anges arrivant sur la Terre afin d'éviter un Troisième Impact, on sent que le fil rouge va être ardu à comprendre. Nous apprenons au fil de l'histoire que l'arrivée des Anges a été prédit par les Manuscrits de la Mer Morte, lesquels sont en possession de la Seele, une secte aux objectifs plus qu'obscurs, dont les visages ainsi que les objectifs des membres nous sont inconnus. C'est la que le scénario devient de plus en plus confus : il semble que les Anges souhaitent s'immiscer jusqu'au dernier niveau du QG de la Nerv afin de se rapprocher le plus possible d'Adam, le premier Ange ayant foulé la Terre, qui aurait donné naissance aux Eva, et qui serait de plus responsable du Second Impact. Difficile de ne pas faire le rapprochement avec l'une des seules histoires tirées de la Bible que je connaisse : la création d'Adam et Eve (même si je ne sais pas encore ou cela va me mener). Il se trouve que l'Ange situé au sous-sol n'est pas Adam, mais Lilith, une autre entité d'origine inconnue.
Là je me suis dis au plus profond de moi même.
- "Pose toi cinq minutes, bois ta brique de Candy'up et réfléchis bien. Ça va pas être de la tarte aux prunes, tu t'es attaqué à un sacré gros morceau, et s'il faut en plus connaitre la Bible, t'es pas sortie des ronces.
- En même temps "Neon Genesis Evangelion" pourrait se traduire par la Nouvelle Génèse de l’Évangile, alors t'avais qu'à pas sécher le cathé ma p'tite."
Fin de mon aparté personnel.
La série laisse en effet place à de nombreuses spéculations de la part du fan en manque de réponses, c'est certain, mais elle n'en est pas moins divertissante et très bien travaillée. L'animation est vachement sympa et l'on a droit à certaines scènes assez impressionnantes. La bande son est bonne (sans pour autant être excellente) mais l'opening est très accrocheur. Je n'aime pas l'ending par contre, simple question de goût =D. Si je suis bien évidemment frustrée de ne pas connaitre le pourquoi du comment sur absolument tout, je suppose que quelques éléments de réponses paraîtront dans les films.
Si l'épisode 24 nous tient en haleine jusqu'à la fin, les épisodes 25 et 26 m'ont complètement retournée. Je m'attendais à une fin blindée en action et en révélations, mais j'ai été agréablement surprise par l'originalité de la conclusion proposée. En effet, il s'agit là d'un huis-clos centré uniquement sur la psychologie des personnages principaux : en gros, c'est une grosse séance de psychanalyse. Les réponses à mes questions ne furent pas toutes abordées, mais la symbolique psychologique prend une grande importance dans ces épisodes, ayant le mérite de nous instruire plus que de raison sur ce qui est appelé "le plan de complémentarité de l'homme".
- T'aurais pas du sécher la philo non plus.
- Shut up bitch.
- Hm.
Plus tard, un film intitulé The End of Evangelion a cependant été créé pour contenter les fans déçus de la fin originale.
Pour finir, j'ai quand même 2-3 reproches minimes à faire. Le personnage de Kaworu aurait du être mille fois plus exploité que ce qu'il est. A peine un épisode dans la série, c'est bien trop peu pour le charisme qu'il possédait ! Alors je crois qu'il est un peu plus abordé dans les films, donc à voir ;) Ensuite, j'ai relevé plusieurs plans fixes vraiment très longs, ou le silence entre les deux personnages présents se veut pesant mais ou je me suis juste demandé si mon PC ne s'était pas bloqué en chemin. Aussi, il est vrai que beaucoup de détails restent flous, ce qui peut bien évidemment rebuter certaines personnes.
Reste que je suis très contente de la série, au final. Même s'il s'agit là d'une histoire qui laisse énormément à l’interprétation, c'est assez bien mené et j'ai hâte d'en connaitre les détails, et la suite ;) Je comprend également ce qui a fait que cette histoire est devenue un classique à voir absolument, et je ne peux que vous conseiller de vous triturer les méninges à votre tour pour essayer d'en percer les moindres secrets ;) A bientôt pour la suite !
Ma note : 15/20
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04/12/2013
Shingeki no kyojin
Année : 2013
Genre : Aventure, Horreur, Fantastique
Episodes : 25
Synopsis : Eren Jaeger et sa sœur adoptive Mikasa Ackerman vivent tous les deux paisiblement chez les parents d'Eren, dans le district de Shiganshina, bien à l'abri des Titans derrière l'immense mur qui les sépare du monde extérieur. Eren n'a qu'un seul rêve, devenir un soldat des bataillons d'exploration, pour avoir l'honneur de se battre au nom de l'espèce humaine contre les Titans, qui les dévorent depuis la nuit des temps. Mais un jour comme les autres, tout bascule : un Titan Colossal, bien plus haut que tous les autres et dépassant même le mur, apparait subitement. Il détruit le rempart, laissant entrer les Titans sur le territoire des humains...
Mon avis : Bon. J'ai laissé quelques semaines passer, histoire que le soufflé redescende un peu vous voyez. Mais même après ce laps de temps, je suis encore abasourdie par Shingeki no Kyojin, qui devient mon coup de cœur 2013. Ce fut un véritable phénomène tout au long de sa diffusion, et je n'ai jamais vu autant d'entrain et d'animation sur les réseaux sociaux face à une série. J'ai arrêté de compter les images de Rivaille sur mon mur, tellement elles furent nombreuses...
Cette anime est tirée du manga du même nom de Hajime Isayama, publié dans le Bessatsu Shōnen Magazine et dont je n'avais jamais, jamais entendu parlé avant tout le pataquès que le premier épisode a produit. Il se trouve que ce mangaka a eu une idée de génie : créer un univers ou les humains, enfermés entre quatre murs, se retrouvent envahis par des titans, des humanoïdes monstrueux et immensément grands, se nourrissant exclusivement de chaire humaine. Rien d'exceptionnel jusque là, seulement, l'histoire est menée à la perfection.
Le premier épisode nous retourne les tripes. Un chara design et des couleurs sublimes. Une bande son épique. Une animation qui déchire sa maman et un scénario qui permet de nous montrer des scènes fantastiques (merci les Production I.G), l'apparition du titan colossal des le premier épisode, par exemple. Je n'ai jamais été autant sur le cul, excusez mon langage de charretière qui vend son poisson, mais c'est la première expression qui me vient à l'esprit... Psycho Pass a été une des seules animes à me faire autant d'effet ! Chaque épisode se terminait en apothéose, j'avais des papillons dans le ventre, les yeux grands ouverts, et ces 20 minutes de pur spectacle passaient à la vitesse de l'éclair.
Alors certes, les trois personnages principaux que sont Eren, Mikasa et Armin ne sont pas plus originaux que d'autres, mais la fultitude de personnages que l'on rencontre et qui constituent l'armée permet a l'anime de ne pas stagner et de nous en faire voir de toutes les couleurs. Quelques épisodes de transition se retrouvent vers le milieu de l'anime, mais permettent de faire repartir l'histoire encore plus loin dans l'action et le suspense.
Je vous conseille de vous jeter sur cette anime qui est la révélation de l'année (en même temps si vous ne connaissez pas, c'est que vous revenez d'un voyage de 3 ans au fin fond des jungles d'Amérique du sud, ou que vous avez fait le choix de vivre en ermite, en mode zéro vie sociale et toilettes sèches). Une saison 2 verra probablement le jour, lorsque le manga sera plus avancé, just wait and see ! En attendant, les quatre premiers tomes du manga sont sortis chez Pika, style de dessin particulier mais histoire excellente ! Des spin off sont en cours de prépublication, un film live est prévu pour 2015, des jeux vidéos sur 3DS vont bientôt sortir, bref ! On n'a pas fini d'entendre parler de Shingeki no kyojin, pour notre plus grand bonheur ;) Allez, à la prochaine mauvaise troupe !
Ma note : 19/20
A voir aussi :
- Shingeki no kyojin : Ilse no Techou (OAV)
A voir encore :
Coup de cœur Anime 2012 : Mirai Nikki
Coup de cœur Manga 2012 : Puzzle de Ikuemi Ryo
Coup de cœur Manga 2013 : Nijigahara Holograph de Asano Inio
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27/10/2013
Danganronpa : The Animation
Année : 2013
Genre : Thriller, Horreur, School life
Episodes : 13
Synopsis : Makoto Naegi est un nouvel élève de l'Académie Kibougamine, de même que 14 autres étudiants tous spécialistes de leurs domaines respectifs, l'élite de l'élite. Naegi, expert en malchance, a à peine le pied posé dans l'Académie que les portes se ferment à double tour derrière lui... Un ours prénommé Monokuma informe alors les nouveaux élèves que pour sortir d'ici, il va falloir obtenir son diplôme, et pour obtenir son diplôme, il va falloir tuer les autres participants sans se faire prendre...
Mon avis : Un survival game tiré du jeu éponyme, sortit uniquement au Japon ! C'est une série assez distrayante, même si on sait dès le premier épisode, on ressent tout au fond de nous même, que la fin va être foireuse et sera en queue de poisson... Le début en tout cas est interessant, quoiqu'un peu basique : mettez au même endroit un groupe de personne qui pour une raison X ou Y doit s'entretuer et vous avez la base de tous les survival game qui existent à ce jour... Mais comme on aime ça, on accepte sans broncher ce postulat de départ, et on regarde bien gentiment. Naegi est assez attachant, il est intelligent et pas trop con... Donc ça passe =)
Le schéma reste donc assez classique : un étudiant meurt, et les autres s'attèlent à découvrir qui en est responsable... L'enquête visant à confondre le coupable reste assez secondaire, les éleves découvrent des indices qui avec un peu de jugeote et mis bout à bout permettent de recreer le meurtre... J'ai essayé, mais en gros, il est impossible de deviner qui est le coupable avant la fin des procès, cela peut être n'importe qui, pour n'importe quelle raison... j'ai un peu regretté que l'on ne puisse pas nous même essayer de chercher le responsable, ce qui aurait été un bon point... A la place, on regarde les différents protagonistes se creper le chignon au tribunal, jusqu'à ce que Monokuma rende son verdict et accomplisse sa sentence...
Sans pour autant être ennuyeux, Danganronpa n'est pas exceptionnel, même s'il tente l'originalité, notamment lors des sentences, qui sont réalisées avec une animation différente ce qui est assez appréciable =) +1 pour l'opening et l'ending, que j'adore. Le chara design est sympathique, même s'il y a certaines aberrations (comme le personnage de Sakura que je trouve ignoble ^^)... La fin est un énorme WTF, mais comme on s'y attend depuis le début, on se dit que c'est pas grave =D
Ma note : 12/20
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05/10/2013
Free !
Année : 2013
Genre : Sportif, Slice of life
Episodes : 12
Synopsis : Haruka aime l'eau. Il fait de la natation depuis son plus jeune âge, et sa spécialité, c'est la nage libre. En compagnie de ses amis Makoto, Nagisa et Rei, il va rouvrir le club de natation de son lycée, mais de douloureux souvenirs l'empêchent de profiter pleinement de cet évènement... Car Matsuoka Rin, son ancien camarade de classe avec qui il avait remporté le relais 4 nages quelques années auparavant, est revenu en ville et compte bien le battre lors de la prochaine course...
Mon avis :
"- Posez la main droite sur le Death Note, et prononcez vos serments.
- Je vous promet que je vais mettre mon côté fangirl aux oubliettes, et que je vais parler en toute objectivité de cette anime. Je jure solennellement que je ne citerai pas le chara design à faire mouiller la culotte des filles un peu trop à fond, du scénario qui fait largement penser à un boy's love, et du fait que finalement, on aime ça quand même.
- On vous écoute.
- Merci, Mr le Juge."
Après cette petite intro qui vous met tout de suite dans l'ambiance, passons aux choses sérieuses, made in Tokyo Animation ! On a ici une bande de potes qui adorent nager. C'est leur dada, et ils le font bien ! Les 5 premiers épisodes de la série mettent en place tout le toutim : il faut réaménager la piscine du lycée et rouvrir le club de natation ! Mais voilà, Haruka, lui, il s'en fout un peu. La vérité, c'est que son cœur s'est brisé bien des années auparavant, lorsque son ami Rin a déménagé en Australie pour nager en vue de devenir champion Olympique dans un futur plus ou moins éloigné. Depuis ce jour, Haru vagabonde au gré de l'eau sans trop se poser de question... Tant qu'il y a de l'eau, il y a de l'espoir. Makoto et Nagisa vont le réveiller un peu, et au nom de l'amitié il va faire un effort et accepter de faire parti du club, à condition qu'on lui laisse la nage libre, bien entendu. C'est la que Rin débarque ! De retour d'Australie, il n'a en tête qu'une seule chose, défier Haruka et le battre au crawl... Il s'est entraîné des années pour ça, il a sacrifié tout ce qu'il avait pour ça et perdre, il ne peut l'accepter. Mais on apprend que cela va bien au delà d'une simple victoire ou d'une simple défaite ! Rin base sa vie sur son niveau en natation, et le dernier obstacle le menant à ses rêves, c'est Haruka, qu'il considère comme le seul nageur à ce jour étant meilleur que lui.
C'est vraiment à ce moment la que le côté sportif ressort de l'anime. L'esprit de compétition qui anime Rin est un poison pour Haruka, qui ne souhaite que nager que pour son bon plaisir. Au fur et à mesure, il va découvrir que nager pour son bon plaisir c'est bien, mais que nager pour lui ainsi que pour les autres, c'est encore mieux... Lors des compétitions, ils décident tous ensemble de s'inscrire au relais, avec un nouveau personnage nommé Rei qui lui, n'a jamais nagé de sa vie...
Si c'est le chara design qui m'a tout de suite emballé, je dois avouer que l'histoire démarre doucement. On regrette que le côté sportif et compétition n'intervienne que plus tard, au contraire d'une anime comme Kuroko no Basket ou l'on est tout de suite sous tension. Ici, c'est le côté Slice of life qui prend le dessus, mais qu'à cela ne tienne, on se surprend à aimer les personnages, et particulièrement la relation qui lie Haruka et Rin. C'est une véritable histoire d'amitié et de travail d'équipe avant d'être une histoire de sport, mais ce n'est pas du tout déplaisant =) Le dernier épisode est assez émouvant, j'ai eu quelques larmes, mais vous commencez à savoir que je pleurs pour n'importe quoi =D
Cette anime m'a également fait remonter plein de souvenirs ! Ayant fais de la natation pendant quelques années et un paquet de relais avec mes copines, je me suis tout de suite retrouvée la dedans =) C'est donc une série à savourer sans modération ;) L'opening Rage On de Oldcodex est excellent, de même que l'ending assez original ( Splash Free de Style Five) donc c'est que du bonus ;) A noter que la saison 2 est prévue pour l'été prochain =D
"- Allez-y, vous pouvez vous lâcher maintenant...
- Nan mais ils sont tous trop canons, ils ont des muscles que je croyais inexistants chez tout être humain et bon dieu pourquoi je fantasme sur des personnages de dessin animé. Et pis d'façon Haru il aime Rin, Rin il aime Haru mais il est trop fier pour le dire. Ensuite Makoto il aime aussi Haru, mais Makoto il sait que Haru il aimera jamais que Rin dans sa vie, alors il te balance tout le temps son petit sourire tout triste qui réveillerait la libido d'une centenaire et puis nous bah on a plus qu'à pleurer... Et pis Rei aussi il aime Haru, enfin il le vénère plutôt, mais il adore Nagisa aussi, qui l'aime à fond d'ailleurs, et puis tout ça, ça se passe dans ma tête, mais je m'en fiche parce que c'est vrai d'abord.
- Bien. Barrez vous maintenant, espèce de psychopathe dégénérée. La séance est levée"
Ma note : 13/20
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23/08/2013
Suisei no Gargantia
Année : 2013
Genre : SF, Action, Mecha
Episode : 13
Synopsis : L'Alliance Galactique est en guerre. Les Hideauzes, ces terribles créatures tentaculaires veulent éradiquer la race humaine de la galaxie... La seule solution : compter sur les humains et leur armes humanoïdes. Ledo est lieutenant de l'Alliance Galactique, mais sur le point de perdre, son chef ayant disparu et l'ordre de retrait ayant été confirmé, il se retrouve aspiré avec son robot Chamber dans une faille spatio-temporelle et disparait alors du champ de bataille... Lorsqu'il se réveille, 6 mois se sont écoulés, et il se retrouve en terrain inconnu, qui ressemble étrangement à cette planète qui aurait été le berceau des humains dans le passé : la Terre.
Mon avis : On est tout de suite embarqué dans un univers, et dans l'Univers au sens propre d'ailleurs, ou rien n'importe plus que la hiérarchie et les ordres que l'on reçoit. Ledo, lieutenant dans son armée, est sur le point de totaliser un nombre d'heure de service suffisant susceptible de lui donner le droit de prendre l'air, mais la mentalité de l'Alliance galactique n'est en rien comparable au fait de prendre des vacances. Ici, l'important est de vaincre ces affreuses bestioles que sont les Hideauzes, et la vie importe peu, tant qu'à long terme l'Alliance Galactique survit. Mais sur le front, rien ne se passe comme prévu, et Ledo se retrouve donc avec Chamber sur la Terre... Bienvenue sur le Gargantia, cet immense assemblage de bateaux, vaisseaux, cargos qui à eux tous forment cet immense espace mobile, sur une Terre submergée, et ou les humains vivent en parfaite harmonie, malgré les pirates qui mettent le bazar de temps à autres...
Ledo s'adapte, et apprend à devenir un nouveau genre d'humain, mais l'invasion des Hideauzes le perturbe toujours autant, on ne change pas l'ambition d'une vie en moins de 5 minutes ! Le duo Ledo et Chamber face à ce monde inconnu est bien trouvé : Chamber n'est pas vraiment un robot, mais presque une personnalité propre qui permet à Ledo de ne pas se sentir aussi seul qu'il ne l'est en réalité... Il est l'intermédiaire entre lui et ce monde inconnu. Cette nouvelle communauté lui apprend les us et coutumes de la planète, mais tout dérape lorsque Ledo se retrouve nez à nez avec une étrange créature sous-marine nommée calmar-baleine...
Il y a de temps en temps, des animes dont vous n'avez jamais entendu parler, mais qui se trouvent être en fait des petits bijoux, de par une animation de qualité et un scénario original et recherché. Suisei no Gargantia fait partie de celles-là ! Le seul reproche notable que je peux souligner, c'est que le format de la série de 13 épisodes est trop court pour ce genre de scénario. Le format 25 aurait été beaucoup plus satisfaisant et m'aurait permis de mieux apprécier le rôle de chacun des personnages... En effet, on gratte seulement la surface de ce qui aurait mérité qu'on creuse bien en profondeur... A ce titre, je pense que la fin aurait pu être beaucoup plus émouvante en format long, car l'attachement des spectateurs aux différents personnages, à son ambiance et à son univers aurait été plus conséquent...
Les personnages sont tous attachants, en particulier Ledo, cependant, certains ne sont pas assez abordés et restent très secondaires, et c'est bien dommage... La bande son est particulièrement bien ajustée à cette ambiance SF, mais devient un peu plus monotone lorsque le scénario vire plus vers l'anime "tranche de vie", ce qui est un autre petit défaut.
Suisei no Gargantia reste une série à ne pas manquer, sortant tout droit des Productions I.G à qui l'on doit Psycho Pass, donc ça reste du bon niveau ;)
Merci à Geekroniques pour l'article qui m'a donné envie de regarder cette petite perle ;)
Ma note : 16/20
100ème article !
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08/04/2013
Angel Beats !
Année : 2010
Genre : Comédie, Drame, Romance, Supernatural, School life
Episodes : 13 + 1 OAV
Synopsis : Otonashi Yuzuru est un jeune garçon... venant tout juste de mourir. Il se retrouve aux alentours d'un lycée, qui se trouve en fait être un lieu situé entre le paradis et la Terre. Otonashi rencontre alors Nakamura Yuri, la leader d'une bande rebelle qui se bat contre Tenshi, et plus généralement contre l'idée de Dieu, qui les a privé de leur existence alors qu'ils avaient tous la vie devant eux.
('Tention aux spoilers m'sieurs dames !)
Mon avis : D'habitude, je trouve que les séries sont trop longues pour ce qu'elles ont a raconter. Et bien dans Angel Beats !, c'est l'inverse. Le concept du purgatoire, car c'est un peu comme ça que je le vois, est assez intéressant, mais l'histoire qui en découle méritait d'être infiniment plus riche et travaillée que ce que nous obtenons : cette bande de jeunes ressent donc un mépris (que l'on ne ressent que chez Yuri d'ailleurs) pour cette puissance supérieure qui les a privé de toute vie sur terre, et ils illustrent leur colère par leur rébellion contre Tenshi, qui n'est en fait pas un ange, mais bien une jeune fille comme les autre qui elle aussi a perdu la vie bien trop tôt.
J'aurais adoré connaître chacune des histoires personnelles des personnages, comme c'est le cas pour Otonashi, Yuri ou Yui par exemple, mais les autres personnages sont écartés, à la fin ils disparaissent même comme si de rien n'était... Ca ne sert à rien de creer autant de personnages si ce n'est pas pour les développer et les approfondir à un moment ou à un autre ! Très déçue de ce point. Certains aspects ne sont pas éclairci, Hinata disparaît, mais au final, avait-il attrapé la balle ? est-il à présent sans regrets ?Comment Yuri est-elle morte ? Qui était ce garçon dans la salle informatique ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Trop de questions pour pas ou peu de réponses... Bien dommage, car l'anime a à son actif des passages assez poignants qui aurait pu en faire un chez d'oeuvre si tant de défauts n'étaient pas présents... La scène de la mort d'Otonashi est magnifiquement réalisée, et je me suis surprise a avoir la gorge nouée et les zygomatiques douloureux (vous savez, quand vous vous empêchez de fondre en larmes !!), pareil pour les adieux entre les cinq derniers élèves...
Pour la romance entre Otonashi et Tenshi, je ne l'ai pas du tout ressenti au fil des épisodes, et j'ai donc trouvé un peu étrange la scène de séparation entre les deux, qui a mon sens ne reflète pas bien leur relation (ça m'a fait penser à la fin de Ano Hana, ou on est témoin d'adieux déchirants entre Menma et Jintan, la ça vous arrache les tripes et le coeur en même temps...).
Question technique, Angel Beats n'a rien a envier : animation et couleur impeccables, chara design déja vu mais agréable, musique sympa notamment quand le groupe de filles chante pour faire diversion. L'opening est sublime. Cela reste donc un moment sympa devant son PC, mais j'ai été globalement déçue, surtout parce que j'avais lu pas mal de commentaires sur cette anime et que les gens criaient au génie... A noter qu'il existe une fin alternative (de 2 minutes 30 environ) qui explique ce que serait devenu Otonashi s'il s'en était tenu à sa décision de départ... j'ai préféré celle-la, elle est plus dramatique =D
Ma note : 12/20
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23/03/2013
Psycho Pass
Année : 2012
Type : Seinen
Genre : Science fiction, Policier
Episode : 22
Synopsis : Dans un monde ou on peut évaluer la psychologie de la population via un coefficient de criminalité appelé Psycho-pass, on peut alors reperer les éventuels criminels, simplement en analysant les gens. Tsunemori Akane est une jeune recrue du Bureau des enquètes publiques, chargée de repérer et d'arreter les futurs criminels. Elle se retrouve donc dans une équipe de plusieurs enqueteurs, dont certains sont des exécuteurs, c'est à dire des criminels potentiels engagés par la police pour leur préter main forte. Kougami Shinya est l'un d'entre eux. S'en suit une collaboration qui va les mener jusqu'au coeur du système...
Mon avis : Attendez, laissez moi quelques secondes pour que je sache par ou je vais commencer... (Attention aux spoilers, ça va chauffer grave).
Tout commence il y a plus ou moins 22 semaines, ou sur ce cher Youtube, je tombe sur les nouveautés animes automne 2012... Je tombe par hasard, comme à chaque fois, sur 1 min 30 d'un bijou visuel et sonore que certains ont surement déja eu l'occasion de voir : Abnormalize de Ling tosite sigure. Passé le choc d'une musique sensationnelle et d'une animation remarquable, je me renseigne sur cette anime, qui au combien m'avait titiller l'intellect... Psycho-pass, une anime SF avec en prime Akira Amano comme character designer, la maman de Katekyo hitman Reborn. Le premier épisode était déja sorti sur mon site de streaming préféré, et pour ceux qui suivent un peu la page facebook, ils ont du remarqué que j'ai été pas mal emballée... Ca, c'était pour la petite histoire.
Ce premier épisode m'avait soulevé les tripes : l'intrigue principale tourne donc autour de Akane et de sa relation strictement professionnelle avec l'exécuteur, Kougami. Ce dernier était inspecteur, mais suite au meurtre violent de son coequipier, son psycho pass s'est retrouvé à un niveau tel, qu'il est lui même devenu ce qu'il était chargé d'arreter : un criminel latent. Il s'est mis depuis à la recherche du meurtrier, Makishima Shougo. L'anime est divisé en plusieurs arcs, correspondants à des enquêtes différentes ou l'on se rend compte qu'elle sont toute reliées en un point : Makishima. Toute l'anime est une suite d'action, de retournements de situation incroyables, de musiques passionnelles et épiques...
Certains épisodes sont plus lents que d'autres, mais ont alors pour contribution de faire avancer l'intrigue : on ne s'ennuie donc jamais. Et que dire de la fin ! Kagari dont on ne saura jamais s'il est en vie ou non, Masaoka qui a donné sa vie pour proteger celle de son fils Ginoza, qui finalement se retrouve lui aussi en état de criminel latent, et fini exécuteur... Akane, qui a beaucoup muri, a échoué à proteger Kougami, qui s'est enfui après avoir executé son ennemi, son égal, Makishima. J'ai été ému jusqu'aux larmes... Après le meurtre de Makishima, on ne revoit jamais le visage de Kougami, on devine seulement que Makishima lui a retourné la tete, et que finalement ses opinions sur la société n'étaient peut être pas si extrémistes que ça...
Cette relation entre ces deux ennemis m'a un peu fait pensé à Death Note, car elle ressemble à celle de L et de Light, eux seuls se comprennent vraiment, et seul l'un peut tuer l'autre... Ils sont pareils, proches des frontières de la loi, et pourtant pas du même côté...
La fin ouverte laisse place à une éventuelle saison 2... Le système Sybille sera t-il un jour désactivé ? Akane va t-elle essayer de retrouver Kougami ? Ce dernier va t-il passer de l'autre côté de la frontière ?
Chaque personnage est interessant, je trouve dommage que leur histoire respectives n'est pas été encore plus racontée, et oui, quand c'est fini, on en redemande ^^ Le chara design s'éssoufle un peu en milieu d'anime et est un peu moins propre, mais la qualité de l'animation et des décors nous font oublier les petits défauts... Le second et le troisième opening (même musique : Out of control de NCIS) sont géant, quoi que le dernier est un peu moins abouti graphiquement et certaines séquences sont changées d'un épisode à l'autre.
Et bien que 2013 vienne à peine de commencer, cette anime est un coup de coeur qui va rester très difficile à battre. A savoir qu'un manga a débuté, il reprend exactement la même histoire, mais qui sait, il ira peut être plus loin ?
Ma note : 19/20
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10/02/2013
K
Année : 2012
Type : Seinen
Genre : Fantastique
Episodes : 13
Synopsis : Isana Yashiro est un jeune lycéen qui profite paisiblement de la vie, accompagné de son chat Neko. Un jour, un élément vient cependant perturber ses habitudes : un gang, suivant les ordres du Roi Rouge, diffuse la vidéo du meurtre d'un de leur camarade, et d'après cette vidéo, l'auteur du meurtre n'est autre que Yashiro lui même... En même temps, Yashiro fait la connaissance de Yatogami Kuro, qui veut le tuer sous pretexte que son maitre, l'ancien Septième Roi, lui a demander de la faire... De son côté, le Roi Bleu de compte pas laisser le Roi Rouge agir comme il le veut.
Mon avis : Sous ce scénario intéressant, se cache une anime qui m'a particulièrement déçu. Pourtant, K possedait les bons ingrédients pour faire un chef d'oeuvre : un chara design certes qui s'est déja vu mais qui est très propre et agréable à regarder, un scénario complexe qui promettait de retourner le cerveau du spectateur... Ce que j'en ai retenu ? Beaucoup de longueurs pour peu de scènes impressionnantes, des jolies couleurs et des personnages originaux pour finalement une anime fade et sans action.
Pourtant le premier épisode était prometteur ! De belles scènes de combat, des scènes comme j'aime, fluides, rapides, ça c'était vraiment super... Puis plus rien. Jusqu'au combat de Yatta et Fushimi, que j'ai adoré et ou la, mon interet qui avait plus ou moins chuté s'est mis a grandir à nouveau... Pour finalement redescendre comme un de mes gateaux, à chaque fois que j'oublie de mettre la levure. True story.
J'ai relevé tellement de défauts, en tout cas de choses qui ne m'ont pas plu dans cette histoire, qu'il me faudrait 3 ans pour tout répertorier... Shiro qui se trimballe tout le temps avec son parapluie, Neko qui est un chat pouvant se transformer en humain et dont personne ne s'étonne de la présence (pas un, "t'es qui toi ?", elle devient un personnage principal, sans pour autant avoir de rôle important. Elle a le rôle de la fille quoi. Qui en plus se balade à poil durant tous les épisodes. Très classe)... Kuro qui écoute son petit magnéto tout pourri, avec ses proverbes tout pourri, qui veut tuer Shiro toutes les cinq minutes mais ne le fait jamais... Il était pourtant un de mes personnages favori mais n'a pas brillé par la suite... En fait, seuls Yatta et Fushimi ont retenu mon attention : leur querelle était interessante à suivre. Le roi rouge avait de la gueule, mais ne fout quasiment rien, il passe la moitié de la série en prison, le roi bleu est tout aussi innintéressant, sa seconde avec des gros lolos fout rien, la petite Anna, qui visiblement a des pouvoirs spéciaux permettant de retrouver les gens, on sait pas non plus ce qu'elle fout la... En fait rien n'est expliqué, tout est implicite, et j'ai pas du tout aimé rester dans le flou comme ça...
En bref, et pour parler crument, j'me suis faite chier comme un rat mort devant cette anime, et je ne comprend pas l'engouement qui tourne autour de cette série. Une saison 2 est en préparation *malheureusement*, et je prie pour que ce soit meilleur que ce "truc" la. La bande son ne rattrape rien, c'est bourré de musique d'ascenseur, on s'ennuit, on s'endort... L'opening est pas mal (même s'il réutilise des sequences de l'anime, ce que je trouve assez moyen)... Voilà.
Ma note : 9/20
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05/02/2013
Sarai-ya goyou
Année : 2010
Type : Seinen
Genre : Samourai
Episodes : 12
Synopsis : Masanosuke Akitsu est un samourai ronin, sans allegeance, qui arrive à Edo dans l'espoir de trouver un travail en tant que garde du corps. Il rencontre dans sa quete Yaichi, un yakuza à la tête d'un groupe nommé Goyo. Yaichi va proposer à Masa d'entrer dans la bande, spécialisée dans l'enlèvement de membres de riches familles dans le but d'obtenir une rançon. Dès lors, Masa, bien que timide et effacé, va vouloir en savoir plus ce groupe atypique.
Mon avis : J'ai tout de suite reconnu la patte de Natsume Ono, qui sous son autre nom de plume, Basso, a à son actif quelques yaoi très interessants... Hum passons ^^
Moi, j'aime l'originalité, alors quand je vois ce genre de chara design que l'on ne retrouve nul part ailleurs, je fonce ! Déja, mise en bouche avec un opening que je trouve fabuleux, Signs of love by Immi... J'ai flashé dessus au premier regard... Pour l'anime, j'ai adoré bien que ce ne soit pas une anime de samourai du genre action. L'anime raconte donc l'histoire des membres de Goyo, et de leur environnement, mais ce que l'on souhaite par dessus tout, c'est connaitre l'histoire personnelle de Yaichi. Ce type de personnage est de ceux que j'adore : c'est un personnage mysterieux, intelligent et fourbe tout en étant généreux, mais il cache au fond de lui la vérité sur ce qu'il est, et personne ne peut le faire parler... Les yeux de Yaichi vous transperce, et puis ils ont choisi un seiyu avec une super voix qui colle superbement au personnage... Masa est plus discret, et plus lâche aussi, il n'en reste pas moins fort, et bien que ce soit le personnage principal, c'est le personnage qui est le moins développé.
En fait, le véritable centre d'interet de l'anime reste Yaichi. La série est globalement assez lente, il ne se passe pas grand chose dans ce Japon ancien (d'après ce que j'ai compris, boire du saké, fumer du tabac et enlever des gens sont les principaux centres d'interet à cette époque... Ah et les femmes se prostituent aussi ^^) ce sont les relations entre les différents protagonistes qui sont interessantes. La fin m'a surprise (c'est un bon point !) La bande son est très bonne, avec beaucoup de musique au shamisen (cette guitare japonaise, la, vous savez ^^) qui collent parfaitement à l'ambiance générale, bref, c'est pas mal du tout =)
Ma note : 13/20
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02/02/2013
Kuroko no basket
Année : 2012
Type : Shonen
Genre : Sport
Episodes : 25
Synopsis : Le collège Teikou possedait la meilleure équipe de basket, composée de cinq joueurs que l'on appelait la Génération Miracle. Mais une rumeur disait qu'un sixième joueur était en réalité la véritable force de cette équipe, un joueur fantôme dont personne ne se souvient... En entrant au lycée, Kagami Taiga s'inscrit au club de basket avec une seule idée en tête : devenir le meilleur joueur du pays. Il va alors rencontrer Kuroko Tetsuya, un élève effacé et mauvais au basket qui souhaite l'aider à battre la Génération Miracle...
Mon avis : Je ne suis pas vraiment adepte des animes sportives, et pour tout dire, avant Kuroko no Basket, je n'en avais jamais vu... Mais je ne sais pas pourquoi, ça faisait un moment que cette anime me trottait dans la tête... Du coup, les 25 épisodes étant déja tous sortis, j'ai pu tous les dévorer en deux jours. J'ai adoré ! L'histoire tourne donc autour de deux personnages : Kagami, un première année pret à tout pour atteindre son but ultime et avec un caractère bien trempé, et Kuroko, totalement invisible aux yeux des autres, n'ayant aucune présence, mais on ne sait pourquoi, voulant s'inscrire au club de basket. On sent que ça ne va pas être facile pour ces deux la de s'accorder... Ils n'ont pas du tout le même caractère, pas la même vision du sport et de l'esprit d'équipe, et pourtant, leur partenariat est la clé permettant au lycée Seirin de faire gagner leur équipe ! J'ai adoré les suivre à travers les différents tournois, et suivant les matches, on est vraiment sous pression, tout comme les joueurs... Le premier match contre l'équipe de Kise notamment, ainsi que le tout dernier de la série opposant ce même Kise contre le redoutable Aomine, impressionnant joueur aussi talentueux qu'imbattable, sont juste énormes... L'histoire est donc géniale, c'est ça le sport :P
Pour ce qui est de l'anime dans sa globalité, le chara design est relativement banal (sauf pour la Génération Miracle et nos deux personnages principaux, ou la on n'a le droit a un peu d'originalité), et l'animation est correcte mais mériterait d'être plus fluide (j'ai été un peu déçu de certaines scènes, car l'on a un peu trop souvent des ralentis, des personnages qui se parlent alors qu'ils sont en train de voler dans les airs, les cheveux et les maillots des joueurs s'envolant toutes les cinq minutes comme si une bourrasque de vent allait les emporter... Typiquement shonen ^^") J'ai aussi remarqué que certaines scènes étaient utilisées plusieurs fois... Mais c'est un détail mineur, car au contraire, certaines sequences sont très interessantes =) Un des points forts de la série est son incroyable bande son électro, qui donne une ambiance dantesque à chaque action, chaque dribble, chaque passe... J'étais scotchée... Me reste plus qu'à lire la suite en manga, car malheureusement, je ne suis pas assez patiente pour attendre la saison 2 qui arrivera plus tard dans l'année =) Bilan : même si on est pas fan de sport, Kuroko no basket est une épopée sportive qu'on se plait à suivre, avec des personnages tous plus variés les uns que les autres, et qui nous donne les mêmes sensations qu'un vrai match ;)
Ma note : 16/20
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