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31/07/2013

Le clan des Otori T1 - Le Silence du Rossignol

51JC2YAW89L.jpgAnnée : 2002

Auteur : Lian Hearn

Synopsis : Le jeune Tomasu fait partie des Invisibles, ces gens priant un Dieu secret, et excécrant la violence et la cruauté. Mais les Invisibles sont la cible du clan des Tohan, et un jour que Tomasu rentre d'une des ses multiples escapades dans la montagne, il voit son village se faire détruire devant ses yeux, et tous ses habitants réduits au silence... Alors qu'il essaye de s'échapper de cet enfer, il désarçonne sans le vouloir le seigneur Iida de son cheval, et fuit alors pour sauver sa vie... Il rencontre lors de sa fuite sire Otori Shigeru, qui va le sauver de ce mauvais moment. C'est ainsi qu'une nouvelle page de la vie de Tomasu se tourne. Il devient Takeo, le fils adoptif de Shigeru, et se retrouve au coeur d'une guerre de clans encore plus violente et sanglante qu'un champs de bataille...

Mon avis : Bienvenue dans un Japon féodal imaginaire, prenant place sur un territoire en paix apparente mais en réalité ravagé par les guerres de clans, ainsi que les envies de pouvoir et de conquêtes des plus puissants seigneurs... Le but du jeu ? Etre le plus manipulateur de tous, et entre les alliances controversées et les magouilles politiques, toujours avoir un coup d'avance sur son adversaire...

Ajoutez à cela un jeune garçon complètement pommé, qui menait une vie tranquille de paysan et vit à présent tel un prince et vous avez la recette miracle d'ou est né Le silence du Rossignol...  

On a droit ici à une double narration : d'un côté Takeo, personnage principal, objet de tous les désirs et de toutes les vengeances, et Kaede, au triste destin de femme parmis une guerre de pouvoir entre hommes. Plus tard, les deux jeunes vont se rencontrer, tomber éperduemment amoureux, mais leur position respective empêchera l'un et l'autre de se l'avouer... C'est donc également une histoire d'amour impossible, et de sentiments refoulés.

La notion de destin est abordée : à travers la vision de Takeo et son appartenance à plusieurs famille, l'honneur ne peut lui dicter quelle voie prendre et il se retrouve prisonnier de son destin, il n'est plus maitre de sa vie. Petite place pour le fantastique avec les fabuleuses capacités des membres de la Tribu, ces mercenaires, ne cherchant qu'à préserver leurs dons au fil de leur histoire, et répondant à l'offre du plus offrant. On se rend compte à quel point il est difficile de garder la paix sur un territoire quand ses dirigeants sont aux mains de la jalousie, de l'orgueil, de la colère... Beaucoup d'infos sur l'importance de l'honneur dans la vie d'un homme, de son éducation, de ses connaissances, du pouvoir que peut avoir le peuple lorsqu'un seigneur est apprécié ou non...

Très bien écrit, Lian Hearn nous transporte litéralement à travers des paysages japonais magnifiques, j'avais vraiment l'impression d'y être ! Beaucoup de descriptions sur la montagne, les jardins, les maisons, les vêtements... On imagine tous les décors dans leur moindres détails, les moindres broderies et motifs sur les kimonos... Les odeurs, les sons... L'auteur nous titille les sens et l'imagination à chaque page =) Il n'y a pas vraiment d'action à proprement parler, ici, tout se joue en coulisse, derrière les façades des chateaux !  

Juste épique. En route pour le tome 2 ;)

Ma note : 15/20

 

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15/07/2013

Tomb Raider - Test et impressions

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Année : 2013

Support : PC

Mon avis : Je ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait appeler une geek ou une gameuse (ce mot existe t-il d'ailleurs ?), je ne passe pas 35 heures par semaines devant une console, je n'ai pas toutes les plateformes possibles et inimaginables, mais y'a des fois, ça fait vachement de bien de se retrouver derrière un écran pour jouer ! Le dernier opus de Tomb Raider développé par Square Enix me faisait de l'oeil depuis sa sortie, et hier, le site éponyme faisait des promos sur les jeux PC en téléchargement... Ni une ni deux, je me suis procurée cet opus, pour une somme bien modeste (comme je l'avais fais pour Final Fantasy VII d'ailleurs) ...

Il m'a fallu attendre pas moins de 11h pour le télécharger ! Mon PC n'ayant pas les capacités techniques d'un super calculateur, j'ai du me montrer patiente... Et mettre à jour les pilotes de ma carte graphique aussi... Arrivée à 100%, j'exprime ma joie en cliquant sans attendre sur le petit bouton "jouer", qui me narguait durant le chargement.  

La croisière s'amuse...

Le jeu commence sur une cinématique aux graphismes impressionnants ! Lara Croft est en plein naufrage, pendant un orage titanesque, au milieu du Triangle des Dragons... Elle échoue sur une île un peu glauque au sud du Japon... Son but : retrouver ses coéquipiers, et éviter des habitants de l'île qui ne lui veulent pas que du bien...

C'est à partir de ce moment que nous prenons en main Lara, que personnellement je n'avais pas eu l'occasion de contrôler depuis Tomb Raider Anniversary. Le trajet est assez linéaire, et les quelques énigmes présentes pour la mise en place du jeu sont assez simples. On a un gameplay léger qui nous permet entre autre ne prendre conscience de notre environnement, et d'enflammer des objets grâce à notre torche. Ajoutez à cela une touche pour sauter, et on est bon. Les décors sont absoluments magnifiques, de plus, l'environnement dynamique nous oblige sans cesse à  regarder tout ce qui se passe autour de nous, on craint qu'un individu non identifié arrive par surprise à chaque instant, ou qu'un énorme rocher ne nous tombe sur la tête...

Autre chose que j'ai beaucoup apprécié : pour parler cruement, Lara en chie grave. Elle est blessée, elle pisse le sang, elle à froid, elle est crad', elle est exténuée... Fini l'héroine qui a toujours le brushing impeccable ! Cela rajoute un réalisme irresistible à l'ambiance décalée et malsaine qui régnait déjà sur cette île étrange... 

L'intro se termine sur la découverte du panorama de l'île, et contrairement à Lara, on a hate d'en explorer les moindres recoins...

Niveau doublage, on retrouve Alice David (vu dans la série Bref, notamment =) ) aux commandes de Lara ! Je dirai qu'elle a une voix un petit peu monotone, pas toujours très expressive, mais un très joli timbre qui colle parfaitement à notre jeune aventurière ;) J'ai également reconnu Geneviève Douang pour la voix de Sam, que j'ai connu grâce au personnage de Evangelyne dans Wakfu ;) Pour les autres, pas mal de doublages que l'on reconnait, c'est presque du cinema, ça en jette... Maintenant la suite. 

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Et Robinson cru Zoé...

Si j'avais un seul reproche à faire, je dirai qu'à la fin de l'introduction, on a déjà une barre de progression de 4%. On se dit alors qu'avec la durée de vie, ça va pas être terrible...

Lara est donc ensuite embarquée dans une lutte intense pour sa survie : chasser et dépecer les animaux pour manger grâce à un arc retrouvé sur un cadavre, se défendre face à des russes rustres et sauvages qui veulent sa mort on ne sait pourquoi...  Tout tourne autour d'une déesse japonaise nommée Himiko, reine du Yamatai, et qui est encore vénérée comme aux temps anciens...

On apprend pas mal de techniques de combat ! Moi j'aime le tir à l'arc furtif, c'est stylé =D Avoir une souris est insispensable, j'en ai pas et je galère pour viser correctement, surtout quand viennent les loups ! Aux différents camps que l'on rencontre, on a l'occasion d'améliorer notre équipement grâce à des matériaux que l'on trouve à droite et à gauche, de même, Lara peut apprendre de nouvelles techniques lui permettant par exemple d'avoir plus de munitions dans ses poches (oui, c'est possible, demandez à Hermione dans HP...)

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Lost, les disparus...

Outre le fait de chercher un moyen de ne pas claquer subitement de malnutrition, il faut donc éviter en plus de se faire sauvagement assassiner par des malfrats en mode grosse brute, surement des mercenaires à la solde d'un quelconque individu venu s'enrichir sur cette île des plus mystérieuses...

Si au début du jeu, j'ai été un peu dépaysée, j'ai rapidement ressenti la même excitation que j'avais éprouvée lors des précédents Tomb Raider : il faut retrouver son chemin, résoudre quelques énigmes, entrer dans des tombeaux et sauver sa peau, ainsi que celle de ses coéquipiers, si possible... Agrémenté de quelques cinématiques dont l'action ne manque pas, tel un crash d'avion ou l'escalade d'une tour radio assez stressante, je ne m'ennuie pas un seul instant, même si j'en viens quelques fois à perdre le fil du scénario... Quelques défis et quêtes optionnelles complètent cette histoire, il faut par exemple trouver différentes reliques ou des pages de journal de différents protagonistes...

Au moment ou j'écris ces lignes, je viens de découvrir l'existence d'un immense soldat en mode samurai zombie qui n'a pas l'air commode et qui rajoute une touche de fantastique des plus délicieuses, et Lara se trouve en ce moment même au milieu d'un océan de cadavres en putréfaction... J'ai presque l'odeur de la viande pas fraiche dans les narines... L'acquisition de nouvelles armes telles le pistolet ou le fusil à pompe sont d'une grande aide, je pense que mon arc aurait été un peu faiblard devant ce garde tempête...

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 Resident Evil...

Au fur et à mesure de l'intrigue, je me rend compte que l'île est encore plus craignos que ce que je pensais, et que certains niveaux me font carrément flipper... j'adore. Oui, j'adore avoir les foies devant un jeu ;) Certaines étapes telles que celle se déroulant dans le bidonville, ou la grotte ou les futurs Solarii apprenent à se manger entre eux, sont carrément morbides, et on a l"impression de se retrouver dans un film genre Silent Hill... Je vais pas vous mentir, j'ai hate de dégager d'ici =P

Le jeu se termine avec une fin attendue et sans trop de surprise, après un boss de fin qui ne fut pas insurmontable... Lara a vu tellement de choses abominables que son caractère en a prit un coup ! Elle a apprit à ne plus épprouver de pitié pour personne, une survivante est née...

J'ai adoré découvrir les différents niveaux du jeu, les nouveaux lieux, les tombeaux secrets... En bref, ce jeu est une petite merveille. Mon petit pavé s'arrêtera donc sur ce bilan : c'est un jeu que je conseille particulièrement, tant au niveau des graphismes majestueux que de l'intrigue pas mal ficelée. Le gameplay est vachement agréable, même si l'on a peu l'occasion d'utiliser toutes les techniques de combat. J'ai quelques petits couacs qui viennent assombrir le tout cependant. La durée de vie du jeu est d'environ une dizaine d'heure, et c'est dommage car avec un jeu de cette qualité, le double aurait été plus satisfaisant. Je regrette également l'introduction de Mathias dans le scénario, car finalement, à part en ramassant les pages de son journal égarées sur l'île, le grand méchant de l'histoire n'est jamais introduit correctement, et on ne sait pas trop qui il est ni d'ou il vient ni quel est sont but ultime...

J'espère que ce petit résumé vous a plu et qu'il vous a donné envie de jouer à ce jeu, ci ce n'est déjà fait ;) Ma barre de progression est actuellement de 70%, il ne me reste plus qu'à combler tout ça, et pourquoi pas, recommencer le jeu, mais cette fois en mode difficile =P

A la prochaine ! 

Ma note : 17/20 

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06/07/2013

Berserk - L'âge d'or

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Année : 2012-2013

Réalisateur : Toshiyuki Kubooka

Genre : Historique, Action, Fantastique

Synopsis : Un mercenaire du nom de Guts se retrouve engagé dans la Troupe des Faucons, dirigée par un certain Griffith, qui porte un mystérieux médaillon et souhaite devenir roi du pays...

Mon avis : Je vais décomposer tout ça en fonction des films, on s'y retrouvera mieux ;) A savoir que l'histoire originale est tirée du manga Berserk de Miura Kentarou, qui ne compte pas moins de 37 tomes sortis au Japon et 36 en France, chez Glénat. Pour les avoir dévoré en quelques jours, je peux vous assurer qu'il y a du niveau. A ce jour, j'attend le chapitre 334, et bon dieu que c'est long... La trilogie des films reprend la série animée de 1997 : elle raconte l'histoire allant des tomes 2 à 12 si ma mémoire est bonne, intitulée l'Âge d'or. Voilà je pense qu'avec ces renseignements, on a le strict minimum =)

(Attention aux spoilers !) 

123.jpgBerserk - l'âge d'or partie I - L'oeuf du roi conquérant

Cette première partie conte la rencontre entre Guts, brute épaisse imbattable en combat, et Griffith, chef de la Troupe des Faucons, mercenaires très demandés car toujours victorieux. Guts vit sa vie au jour le jour, avec dans sa tête des souvenirs effroyables qui le poussent à aller toujours plus loin dans le combat. Il ne se bat que pour se tester, et il met sa vie en jeu à n'importe quel prix. Au pire, bah il meurt. Sa rencontre avec Griffith, seul être humain l'ayant vaincu à ce jour, va lui faire avoir un autre regard sur le monde. Il va pour la première fois risquer sa vie pour quelqu'un d'autre, et tout particulièrement dans l'optique d'aider Griffith à réaliser son rêve ambitieux de devenir roi.

La relation qui lie les deux personnages est très profonde, c'est une amitié vraiment puissante et indéfinissable. Mais sous les propres paroles de Griffith, Guts va douter du sens qu'il a donné à sa vie. A quoi bon aider quelqu'un à réaliser son rêve, si nos propres rêves sont destinés à rester dans l'ombre ? On sent que Guts est partagé : rester avec la Troupe des Faucons à laquelle il s'est attaché, ou continuer sa propre route afin de donner un sens à son existence et être l'égal de Griffith... De plus, ce dernier cache un destin plus que mystérieux et sombre, en rapport avec un pendentif étrange nommé Behelit... 

J'ai adoré. Je sais que je dis souvent que j'ai adoré, mais n'empêche que j'ai adoré. L'animation est magnifique, même si comme à mon habitude je ne suis pas fan du mélange 2D/3D, les combats sont du coup très dynamiques et on a les yeux qui bougent tout le temps pour ne louper aucun détail. Le scénario est travaillé, sans faille, on suit l'évolution des personnages avec intérêt, et on peut presque sentir que l'orage approche et qu'une tempête ne va pas tarder à éclater... Le chara design est propre, fidèle au manga mais retravaillé pour l'occasion. Bref, c'est énorme. Le générique démonte (Aria de Hirasawa Susumu). C'est assez violent, donc attention pour les publics assez jeunes ! Mais moi j'm'en fous, pfeu, parce que je suis pas un bébé.

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 Berserk - l'âge d'or partie II - La bataille de Doldrey 

La coopération entre Guts et Griffith a atteint son paroxysme, mais le malaise que Guts a ressenti suite aux paroles de Griffith ne s'est pas estompé. Après la victoire de la Troupe des Faucons face à la forteresse de Doldrey, quelque chose doit changer, et c'est la raison pour laquelle Guts décide de partir.

Cependant Griffith est loin de l'accepter : il ne peut concevoir que ce qu'il a désiré un jour veuille le quitter, cela voudrait dire qu'on lui met des obstacles sur la route qui mène à son rêve, et ma foi ce n'est pas dans son programme. Bien qu'attachant, Griffith apparait alors arrogant. Les deux compères s'affrontent dans un ultime combat, dont Guts sort vainqueur. Le chef des Faucons est anéanti, plus rien n'a de sens, ni son rêve, ni sa vie et le sens qu'il lui a donné. Il va alors dans la chambre de la princesse Charlotte, ce qui sera à l'origine d'un grave incident diplomatique qui le mènera à sa perte...

Cette deuxième partie illustre comment un fossé béant s'est creusé entre les aspirations de Griffith et celles de Guts. Ce dernier s'en veut de faire de la peine à celui qu'il considère déjà comme son seul ami, mais Griffith est déchiré de l'intérieur...  

J'ai trouvé que c'était bien mis en scène, on voit presque le coeur de Griffith se briser devant nos yeux. La scène du bal était un peu longue, mais on est heureux de voir les personnages en profiter, car on sent que ça ne va pas durer... Un petit clin d’œil au manga avec l'apparition de personnages qui deviendront plus tard des personnages principaux comme Puck, Farnese ou encore Serpico (que l'on peut voir dans le générique toutefois =). On quitte ensuite Guts avec un gout amer dans la bouche, un gout qui ne laisse rien présager de bon...

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 Berserk - l'âge d'or partie III - l'Avent

Guts revient, un an après son départ précipité de la Troupe des Faucons. Il apprend par ces derniers que Griffith pourri dans les geôles du palais, et il promet d'aider à le délivrer avant de s'en aller à nouveau. Casca et lui deviennent plus ou moins un couple, et la jeune femme, bien que fascinée par Griffith, se laisse emporter par le bonheur de revoir Guts. Mais rien ne fonctionne comme prévu : après un an de tortures abominables, l'ancien chef des Faucons est à peine vivant, il a du mal à croire que Guts est revenu pour lui...

Au fur et à mesure, on va s’apercevoir que, certes le corps de Griffith est très amoché, mais que son esprit est bien pire. C'est la jalousie et l'envie de vengeance qui s'emparent de cette maigre carcasse, et bien qu'il ne puisse plus parler, on sent qu'il a de la haine et énormément de rancoeur envers Guts, qui a fait de lui l'être brisé qu'il est devenu... De plus, Casca qui ne vivait que pour lui l'abandonne également, c'en est trop. Lorsque Griffith retrouve le Béhélit, c'est la fin. Les Dieux de la causalité lui offrent l'ultime place de Dieu, mais lui demandent du sang comme paiement, le sang de ses anciens camarades comme sacrifice... c'est la que commence le massacre. 

 

Cette ultime film clôturant la trilogie est d'une extrême violence ! On commence doucement, avec la réunion de Guts et de Casca, mais on monte crescendo pour ne jamais redescendre sur terre. Beaucoup de souffrances et des scènes que j'ai eu un peu de mal à regarder comme le viol (?) de Casca. A ce moment, Guts est à deux doigts de sombrer dans la folie, j'avais les yeux grands ouverts tellement j'attendais la suite O_O J'ai eu l'impression qu'il y avait un peu moins de 3D, peut-être car il y avait moins de scènes de batailles comme lors des deux précédents films. Cet épisode s'éloigne un peu des deux précédents en écartant le thème de la conquête territoriale pour rentrer pleinement et surement dans la dark fantasy, à nos risques et périls. 

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 Bilan global : Vous avez intérêt à regarder ça tout de suite et à me dire ce que vous en pensez ! Attention toutefois aux âmes sensibles, car la trilogie contient des scènes un peu osées (nan mais genre vraiment) que ce soit au niveau du sexe ou de la violence, il n'est donc pas recommandé aux plus jeunes (dit-elle en souriant, encore traumatisée). Certaines sources nous soufflent à l'oreille que Berserk, c'est loin d'être fini, vrai ou faux ? J'en sais rien, je suis pas un Dieu de la causalité moi.

Ma note : 19/20

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05/07/2013

Opening Free ! Rage on de OLDCODEX

J'm'en fous j'suis une fangirl et j'assume =P

02/07/2013

Index des critiques "Animes"

A

B

C

D

- Angel Beats !

- Air

- Ano Hana

- Another

- Aldnoah Zero

 - Baccano!

 - Barakamon

- Clannad et Clannad Afer Story

 - Danganronpa : the Animation

- Death Parade

E

F

G

H

 

 - Free !

- Free ! Eternal Summer

- Guilty Crown

- Ghost Hound

 - Hyouka

- Higashi no Eden

- Haikyuu!!

- Hamatora

I

J

K

L

 - Isshuukan Friends - Jormungand

- K

- Kuroko no Basket

- Kids on the slope

- Kuroshitsuji S3

 

 

M

N

O

P

- Mirai Nikki

 

- Natsuyuuki Rendez-vous

- No Game no Life

- Noragami

- Neon Genesis Evangelion

- Owari no Seraph 

- Psycho Pass

- Pupa

- Psycho Pass 2

 

Q

R

S

T

  - Rainbow

- Sarai-ya Goyou

- Sword Art Online

- Sankarea

- School Days

- Shiki

- Suisei no Gargantia

- Shingeki no Kyojin

- Shigatsu wa Kimi no Uso

- Shingeki no Bahamut : Genesis

 

- Toradora

- Tokyo Ghoul

- Terra Formars

U

V

W

X

- Un-go    

 

 

Y

Z

 
- Yondemasu yo, Azazel-san !  - Zankyou no Terror

01/07/2013

Mirai Nikki : Redial

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000000000000.jpgAnnée : 2013

Genre : Comédie, Fantastique

Episodes : 1 OAV

Synopsis : Gasai Yuno vit paisiblement sa vie, et s'amuse en 00000000.jpgcompagnie de ses camarades de classe. Mais quelque chose lui manque, et elle n'arrive pas à mettre le doigt dessus...

Mon avis : Mirai Nikki : Redial est le sequel de la série Mirai Nikki (dont vous pouvez lire ma critique sur le blog =P). Souvenons-nous (attention aux spoilers) : à la fin de la série, Yukiteru devient le nouveau dieu de l'espace et du temps, mais se retrouve séparé de Yuno, celle ci s'étant sacrifiée pour que son cher et tendre puisse gagner le jeu. Seulement lors de cet 00.jpgaffrontement final entre les différents protagonistes, plusieurs dimensions parallèles s'affrontent et finissent par se lier alors que les lois de causalité l'interdisent : on peut voir alors une Yuno plus jeune, qui a encore ses parents... c'est cette Yuno la que l'on va découvrir, cette Yuno qui ne connait pas Yukiteru, mais qui en ressent le manque au fond d'elle... Ce petit speech à l'air interessant vu comme ça, il en est tout autre cependant. En effet, 0000000.jpgl'OAV n'a aucun, mais alors aucun intéret.

Cette histoire avait pour but de raconter comment Yuno retrouve Yukiteru à la fin de l'histoire, scène qui était dans le manga, mais non abordée dans l'anime. Cela aurait pu être très interessant, mais cette OAV s'obstine à ne rien vouloir raconter. On passe d'une scène étrange ou Yuno a une impression de déjà vu, à des scènes comiques ou l'on retrouve au fur et à mesure tous les personnages de la série. De plus, l'animation est assez 0000.jpgmauvaise et les musiques sans aucun charme...

Même les retrouvailles des deux tourteraux sont fades et sans aucune chaleur, on termine l'épisode avec un gout amer dans la bouche, frustré non seulement de ne pas avoir eu une conclusion digne de ce nom, mais pire, d'avoir regardé une fin baclée qui vient ternir une série que pour ma part j'ai trouvé géniale... Grosse déception.

0.jpgLes quelques points que j'accorde à cette OAV sont modérément mérités : l'opening est assez moyen mais pas désagréable à regarder, et j'ai aimé retrouvé Yukiteru desespéré au fin fond d'on ne sait ou, maitre de l'espace, du temps, mais incapable d'être heureux sans celle qu'il aime... 

Ma note : 4/20

 

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