04/09/2013
Opening Danganronpa - Never say never de TKDzZb
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29/08/2013
Corpses Party
Année : 2012-2013
Genre : Horreur, Fantastique
Synopsis : On raconte que dans l'ancienne école primaire, un drame terrible a eu lieu... Dans un lycée, une bande d'amis s'apprêtent à dire aurevoir à l'une de leur camarade, mais pour être éternellement liés ensemble, ils font appel à Sachiko...
Corpses party : Missing footage
Allez, on commence doucement, au milieu d'une mare de sang, dans un océan de tripes et de boyaux, pendant que des enfants se font déchiqueter les yeux avec une paire de ciseaux ? Vous m'avez cru ? Tant mieux, parce que c'est la stricte vérité =D On se dit alors que ça ne va pas s'appeler Corpses Party (La Fête des Cadavres) pour rien, et que les protagonistes vont certainement prendre cher... La première scène est assez stupéfiante, dans le sens ou l'on ne voit pas grand chose des atrocités qui sont en train d'être commises, par contre, on ne perd pas une miette de l'ambiance sonore, ce qui est extrêmement glauque, et je le conçois, peut donner envie de renvoyer les crêpes au sucre que l'on vient d'ingurgiter vers le monde extérieur, la ou elles seront libres de voler de leurs propres ailes. C'est dégueulasse. Bref ! S'ensuit l'apparition d'une gamine aux cheveux longs et noirs un poil sadique (ceux qui connaissent un peu le folklore japonais peuvent déjà deviner comment elle s'appelle ;) )... La suite de l'épisode nous fait découvrir les différents personnages de l'histoire : deux frère et sœur, Mochida et Yuka, vachement affectueux entre eux (brother complex, fuck yeah), Naomi et sa pote lesbienne Seiko, Morishige et sa chérie Shinozaki qui elle déménage le lendemain du festival, un autre gars qui à l'air d'aimer une autre fille qui a l'air d'aimer un autre gars, une prof' que les élèves ont l'air de trop grave kiffer. Hm. J'regarde la suite, on verra bien... Animation relativement moyenne, chara design aussi, mais ne vendons pas la peau de Chewbacca avant de l'avoir pelé, et donnons une chance à l'animation d'horreur...
Corpses Party : Tortured souls
On retrouve notre joyeuse bande de bambins, à la fin du festival du lycée. Le temps des adieux est arrivé pour Shinozaki, mais qu'a cela ne tienne ! Racontons nous des histoires d'horreur et faisons un pacte qui nous liera à jamais... Tout se passe bien jusqu'à ce que dans la salle de classe, le sol s'écroule =) On retrouve nos personnages en plein milieu d'une vieille école primaire, qui aurait été jadis le témoin d'actes abominables perpétrés sur des enfants.
Sont cons, ils auraient du regarder le premier épisode, ils auraient compris ! Naomi et Seiko ne vont rien trouver de mieux à faire que de se séparer dans cet endroit inconnu... Et on s'étonne quand on retrouve des cadavres ? Si on connait un tant soit peu les films d'horreurs, on sait que 1) il ne faut pas se séparer (mais on le fait quand même) et 2) c'est toujours la bonne copine ou le pote idiot qui crève en premier. Vous l'aurez compris, énormément de clichés pour un scénario qui à l'air d'être du réchauffé. Pas vraiment de frissons ni de surprises, mais ce n'est que la première OAV, on ne sait jamais...
La balade nocturne dans l'école primaire craignos se poursuit... On apprend que plusieurs dimensions existent, et que les différents protagonistes ne peuvent pas tous se rencontrer, même s'ils sont dans la même pièce... J'applaudis avec ferveur le rôle de l'enseignante : c'est sarcastique bien sur, car non seulement elle est responsable du meurtre d'une de ses élèves, mais en plus elle fini en charpie après moins de 2 minutes à l'écran... J'ai plutôt apprécié le fait que Morishige devienne un taré psychopathe ainsi que la séparation du frère et de la sœur (car après 15 "onii-chan !, onii-chan !", j'avais envie de la tuer moi-même à coup de ciseaux...) Le duo de la fille et du blond est assez sympathique à suivre : ils deviennent tout deux chasseurs de langues ;) En effet, retrouver les langues arrachées des enfants disparus et la leur rendre est le seul moyen de les libérer... Ces affreuses faces de steaks hachés redeviennent alors les joyeux poupons qu'ils ont été avant de se faire sauvagement assassiner. c'est charmant =)
Les deux dernières OAV sont dans la même lignée. Les enfants sont libérés, mais il faut maintenant apaiser l'esprit machiavélique et sadique de la petite Sachiko... La dernière image de la dernière OAV est juste à mourir de rire, j'ai pas pu m'en empêcher, c'était juste trop... trop.
Je ne comprend pas bien quelle est la cible de ce genre d'animes... Pas de spectateurs trop jeunes car certaines images peuvent perturber leur état d'esprit "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tout le monde il se fait pas couper la langue par un individu louche" et pas de public trop âgé car le scénario et les dialogues ne sont clairement pas adaptés... C'est vraiment trop léger ! Alors oui, ça passe le temps, c'est certain... Mais c'est dommage, car visiblement, y'a moyen de faire une bonne série horrifique si un scénario intéressant suivait derrière, ce qui n'est malheureusement pas le cas... Alors je suis peut être un peu dure, hein, mais j'aime pas être déçue !
Les 4 OAV composant cette saison de Corpses Party sont donc assez moyennes... Tout se passe rapidement car le format de la série n'est composée que de 4x30 min (plus le prologue), ce qui empêche de trop s'étendre. On sait pertinemment que tout le monde va clamser, et on joue à la roulette russe pour savoir quel sera l'heureux élu qui s'en sortira...J'ai apprécié plus ou moins, ça dépendait des moments, mais cela reste assez superficiel et fade. C'est un truc du genre "ouais, on va sortir une histoire mille fois racontée ailleurs, on va mettre quelques scènes cradingues, on met tout ça 3 minutes au micro-onde et ça passera tout seul". Et vous, vous en pensez quoi ?
Ma note : 9/20
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23/08/2013
Suisei no Gargantia
Année : 2013
Genre : SF, Action, Mecha
Episode : 13
Synopsis : L'Alliance Galactique est en guerre. Les Hideauzes, ces terribles créatures tentaculaires veulent éradiquer la race humaine de la galaxie... La seule solution : compter sur les humains et leur armes humanoïdes. Ledo est lieutenant de l'Alliance Galactique, mais sur le point de perdre, son chef ayant disparu et l'ordre de retrait ayant été confirmé, il se retrouve aspiré avec son robot Chamber dans une faille spatio-temporelle et disparait alors du champ de bataille... Lorsqu'il se réveille, 6 mois se sont écoulés, et il se retrouve en terrain inconnu, qui ressemble étrangement à cette planète qui aurait été le berceau des humains dans le passé : la Terre.
Mon avis : On est tout de suite embarqué dans un univers, et dans l'Univers au sens propre d'ailleurs, ou rien n'importe plus que la hiérarchie et les ordres que l'on reçoit. Ledo, lieutenant dans son armée, est sur le point de totaliser un nombre d'heure de service suffisant susceptible de lui donner le droit de prendre l'air, mais la mentalité de l'Alliance galactique n'est en rien comparable au fait de prendre des vacances. Ici, l'important est de vaincre ces affreuses bestioles que sont les Hideauzes, et la vie importe peu, tant qu'à long terme l'Alliance Galactique survit. Mais sur le front, rien ne se passe comme prévu, et Ledo se retrouve donc avec Chamber sur la Terre... Bienvenue sur le Gargantia, cet immense assemblage de bateaux, vaisseaux, cargos qui à eux tous forment cet immense espace mobile, sur une Terre submergée, et ou les humains vivent en parfaite harmonie, malgré les pirates qui mettent le bazar de temps à autres...
Ledo s'adapte, et apprend à devenir un nouveau genre d'humain, mais l'invasion des Hideauzes le perturbe toujours autant, on ne change pas l'ambition d'une vie en moins de 5 minutes ! Le duo Ledo et Chamber face à ce monde inconnu est bien trouvé : Chamber n'est pas vraiment un robot, mais presque une personnalité propre qui permet à Ledo de ne pas se sentir aussi seul qu'il ne l'est en réalité... Il est l'intermédiaire entre lui et ce monde inconnu. Cette nouvelle communauté lui apprend les us et coutumes de la planète, mais tout dérape lorsque Ledo se retrouve nez à nez avec une étrange créature sous-marine nommée calmar-baleine...
Il y a de temps en temps, des animes dont vous n'avez jamais entendu parler, mais qui se trouvent être en fait des petits bijoux, de par une animation de qualité et un scénario original et recherché. Suisei no Gargantia fait partie de celles-là ! Le seul reproche notable que je peux souligner, c'est que le format de la série de 13 épisodes est trop court pour ce genre de scénario. Le format 25 aurait été beaucoup plus satisfaisant et m'aurait permis de mieux apprécier le rôle de chacun des personnages... En effet, on gratte seulement la surface de ce qui aurait mérité qu'on creuse bien en profondeur... A ce titre, je pense que la fin aurait pu être beaucoup plus émouvante en format long, car l'attachement des spectateurs aux différents personnages, à son ambiance et à son univers aurait été plus conséquent...
Les personnages sont tous attachants, en particulier Ledo, cependant, certains ne sont pas assez abordés et restent très secondaires, et c'est bien dommage... La bande son est particulièrement bien ajustée à cette ambiance SF, mais devient un peu plus monotone lorsque le scénario vire plus vers l'anime "tranche de vie", ce qui est un autre petit défaut.
Suisei no Gargantia reste une série à ne pas manquer, sortant tout droit des Productions I.G à qui l'on doit Psycho Pass, donc ça reste du bon niveau ;)
Merci à Geekroniques pour l'article qui m'a donné envie de regarder cette petite perle ;)
Ma note : 16/20
100ème article !
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05/08/2013
Assassin's creed - Test et impressions
Année : 2008
Support : PC
Mon avis : Oui, j'ai tendance à m'y mettre après tout le monde... Disons que j'ai un petit temps de retard entre le moment ou le jeu sort, et le moment ou je me dis " Tiens ! Faudrait peut être que tu te l'achètes celui la !" Pour Assassin's creed, il m'aura fallu environ 5 ans pour me décider... Mieux vaut tard que jamais =D C'est la bande annonde du quatrième opus intitulé Assassin's creed : Black Flag qui m'a un peu titillée, et je me suis dis que pour qu'il y ait un certain interet à jouer à celui-ci, encore fallait-il que j'ai joué aux premiers... La franchise Assassin's creed développée par Ubisoft n'a aujourd"hui plus rien a prouver, je suis donc curieuse de voir ce que ça cache... C'est partit =)
(Attention aux spoilers ;)
Une immersion dans la matrice...
Moi qui m'attendais à prendre directement les commandes d'un assassin hors pair venu d'une autre époque, je suis étonnée d'être en fait dans la peau de Desmond Miles, cobaye entre les mains d'un scientifique un peu ambitieux qui en perdrait sa morale si sa charmante sous-fifre Lucy n'était pas la pour le freiner un peu. Ils nous expliquent tout deux qu'ils sont à la recherche d'un fragment de mémoire d'un des ancêtres de Desmond, que ce dernier conserverait profondément enfouit dans les tréfonds de son esprit... Le seul moyen de le récupérer ? Fouiller dans sa mémoire à l'aide d'une machine nommée Animus, permettant de revivre les souvenirs de cet ancêtre, tout en étant dans la peau de cet ancêtre... Hm, voilà qui est interessant ;)
Lorsque Desmond est dans l'Animus, il devient alors Altaïr, un membre d'une fraternité chargée de faire respecter la paix avec des moyens pas toujours très catholiques, notamment l'assassinat. L'introduction est la pour nous définir toutes les touches, j'avoue qu'en dix minutes de jeu, je suis déjà pommée : un mode passif, un mode actif, des lames secretes, bousculer les passants, tuer discrètement, ne pas se faire repérer, utiliser ma tête,... bref, il faut que je revienne de temps en temps dans le menu pour me faire un bref rappel des touches a utiliser ;) On apprend également que Altaïr est loin d'être un enfant de coeur oeuvrant pour la paix des ménages, et qu'il se laisse facilement emporter par ses principes et en oublie le crédo de la fraternité. Son grand chef l'engueule un bon coup, Altaïr est déchu de son rang de maitre, bref, notre personnage doit aller au lit sans avoir prit son dessert et est en plus obligé de se démerder tout seul pour ses missions à venir... ça valait bien le coup d'apprendre à manipuler toutes ces touches, j'ai plus d'armes, et toutes mes techniques ont disparu !
Job d'été...
Mon petit boulot afin de me repentir ? Tuer 9 pointures dans différents domaines tels que la vente d'armes ou le traffic d'esclaves, soupçonnées de nuir à la paix... Mais au fur et à mesure, on se rend compte que les méchants ne sont finalement pas ceux que l'on croit... Je commence à remarquer quelques petits défauts dans le jeu : pour commencer, le schéma visant au final à assassiner telle ou telle personne est assez répétitif. On doit se rendre au bureau des assassins, collecter quelques informations, puis tuer la cible avant de revenir voir notre grand manitou pour qu'il nous rende la suite de notre équipement. Ensuite, les quêtes optionelles sont les mêmes dans chaque ville : il faut récuperer des drapeaux, grimper sur toutes les tours, sauver tout les civils se faisant agresser par des soldats injustement... Seuls les défis informateurs varient un peu ce que je trouve très appréciable.
J'aime avoir à tuer des soldats sans me faire repérer, et si au contraire je me fais repérer, j'aime l'idée de fuir le plus vite possible afin de me cacher, le plus souvent au terme d'une course endiablée sur les toitures de la ville, à la recherche du premier tas de paille dans lequel je pourrais me planquer ^^ ... Le gameplay est vachement sympa, on a pas mal de techniques meurtrières au choix, on peut se faire passer pour un Erudit pour pas se faire choper dans la rue, on peut faire du cheval, on peut crapahuter absolument partout sans se faire remarquer... Les décors sont très beaux, bien qu'un peu semblables au fil du jeu (en gros, les différentes villes se ressemblent quand même beaucoup, ce qui nous donne un peu l'impression de stagner au même endroit), mais la bande son est assez entrainante, donc bon point =)
Au final, il faut completer au maximum le fragment d'ADN de Desmond pour finir complètement le niveau, j'espère juste que les suivants vont se diversifier un peu :/
Petits meurtres entre amis...
En fait, l'histoire prend place tout doucement, Altaïr commence à percuter qu'on se fout un peu de sa gueule, et le complot révèle petit à petit tout ces secrets... Moi je prend mon pied, car bien que le but de la mission de change pas, les changements de quartiers et les défis se diversifiant un peu permettent de profiter pleinement de l'ambiance du jeu. Ca se complique aussi, j'en viens quelques fois à recommencer un certain nombre de fois plusieurs scènes du à une faiblesse momentanée des doigts appuyant sans cesse sur la souris pour tuer ces saletées de Templiers (sisi j'vous assure, c'est pas moi qui suis faible hein... ce sont mes doigts, mes doigts, j'vous dis !) ...
Actuellement au 6ème assassinat, on sent que l'histoire prend de la vitesse, et on se doute qu'Al Mualim, le grand manitou, est carrément louche dans c't'affaire... Il nous apprend que tout repose en fait dans le creux de sa main, sous la forme d'une orbe en argent, qui représente d'après lui la tentation de l'homme...
Encore quelques petits défauts qui sont à deux doigts de me faire m'arracher les cheveux : certains PNJ sont juste insupportables. Les mandiantes qui te réclament du fric toutes les cinq minutes, qui sont très nombreuses, qui t'empêchent de passer et qui en plus si tu les bouscule te font repérer, ainsi que les... que les... comment je pourrais les appeler, les "mentalement dérangés" qui te poussent sans aucune raison à chaque fois que tu les approche... je trouve que ça gache un peu la fluidité du jeu, ce sont des obstacles agaçants et pas franchement utiles. J'ai également remarqué que la diversité des dialogues des PNJ est très pauvre... en effet, ils repetent toujours, toujours, TOUJOURS la même chose, dans tous les quartiers de toutes les villes et des fois avec les même voix, ce qui me donne souvent envie de couper le son...
De son côté, Desmond a aussi un peu l'impression de se faire entuber, et on a moyen entre deux sauts dans l'Animus de discuter avec Lucy, ou même de fouiller dans son ordinateur à la recherche d'infos sur toute cette drôle d'affaire qui a traversé les époques... Si un moyen existe pour fouiller l'ordinateur de Warren, le scientifique verreux (et je suppose que oui), je ne l'ai pas encore trouvé ^^
Tel est pris...
Finalement, Altaïr se sera fait flouer jusqu'au bout ! Je trouve que l'assassinat passe un peu au second plan vers la fin, et on passe plutot au meurtre en grand public, en essayant de survivre aux gardes qui nous collent aux fesses... un peu trop. J'en viens à redemarrer le jeu au dernier point de sauvegarde quand je me fais repérer trop souvent, car la flemme de trouver une cachette me gagne... Mais j'en suis presque à la conclusion du jeu, et j'ai hate de voir ce qu'il me réserve ;)
Comme on commençait à s'en douter, Al Mualim nous a berné, et essaye à présent de nous mettre un pied dans la tombe à l'aide de son gros caillou... Lorsque le boss est battu, cette orbe se trouve être en fait une carte indiquant l'emplacement de mystérieux objets, que Warren cherchait à obtenir depuis le début pour le compte de ses employeurs tout aussi mystérieux... La mission de Desmond est terminée, et sa vie ne tient plus qu'à un fil, mais grace à Lucy qui nous cache également pas mal de choses, on a un petit surci... J'ai été un peu déçue de la toute fin, car l'on a pas vraiment de cinématique venant conclure toute cette histoire (on se doute qu'elle ne fait que commencer, mais quand même !). On obtient la vision des assassins, on voit plein de sang sur le mur de la chambre, et hop ! Générique...
Bon jeu ! Quelques petits défauts bien sur, notamment ceux cités sus ditement, mais on passe quand même un bon moment et le scénario bien qu'un peu complexe est bien mené et bien travaillé =) L'agilité de babouin d'Altaïr est vraiment jouissive, et se promener dans la ville est également assez sympa. La durée de vie est acceptable, j'ai fais le strict minimum et j'ai du jouer environ 15-20h à vue de nez, alors si vous faites les quêtes optionnelles y'en a pour un moment ^^ Je ne sais pas quand est-ce que j'aurai l'occasion de jouer au second opus, mais il est à présent sur ma liste =)
Ma note : 14/20
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31/07/2013
Le clan des Otori T1 - Le Silence du Rossignol
Année : 2002
Auteur : Lian Hearn
Synopsis : Le jeune Tomasu fait partie des Invisibles, ces gens priant un Dieu secret, et excécrant la violence et la cruauté. Mais les Invisibles sont la cible du clan des Tohan, et un jour que Tomasu rentre d'une des ses multiples escapades dans la montagne, il voit son village se faire détruire devant ses yeux, et tous ses habitants réduits au silence... Alors qu'il essaye de s'échapper de cet enfer, il désarçonne sans le vouloir le seigneur Iida de son cheval, et fuit alors pour sauver sa vie... Il rencontre lors de sa fuite sire Otori Shigeru, qui va le sauver de ce mauvais moment. C'est ainsi qu'une nouvelle page de la vie de Tomasu se tourne. Il devient Takeo, le fils adoptif de Shigeru, et se retrouve au coeur d'une guerre de clans encore plus violente et sanglante qu'un champs de bataille...
Mon avis : Bienvenue dans un Japon féodal imaginaire, prenant place sur un territoire en paix apparente mais en réalité ravagé par les guerres de clans, ainsi que les envies de pouvoir et de conquêtes des plus puissants seigneurs... Le but du jeu ? Etre le plus manipulateur de tous, et entre les alliances controversées et les magouilles politiques, toujours avoir un coup d'avance sur son adversaire...
Ajoutez à cela un jeune garçon complètement pommé, qui menait une vie tranquille de paysan et vit à présent tel un prince et vous avez la recette miracle d'ou est né Le silence du Rossignol...
On a droit ici à une double narration : d'un côté Takeo, personnage principal, objet de tous les désirs et de toutes les vengeances, et Kaede, au triste destin de femme parmis une guerre de pouvoir entre hommes. Plus tard, les deux jeunes vont se rencontrer, tomber éperduemment amoureux, mais leur position respective empêchera l'un et l'autre de se l'avouer... C'est donc également une histoire d'amour impossible, et de sentiments refoulés.
La notion de destin est abordée : à travers la vision de Takeo et son appartenance à plusieurs famille, l'honneur ne peut lui dicter quelle voie prendre et il se retrouve prisonnier de son destin, il n'est plus maitre de sa vie. Petite place pour le fantastique avec les fabuleuses capacités des membres de la Tribu, ces mercenaires, ne cherchant qu'à préserver leurs dons au fil de leur histoire, et répondant à l'offre du plus offrant. On se rend compte à quel point il est difficile de garder la paix sur un territoire quand ses dirigeants sont aux mains de la jalousie, de l'orgueil, de la colère... Beaucoup d'infos sur l'importance de l'honneur dans la vie d'un homme, de son éducation, de ses connaissances, du pouvoir que peut avoir le peuple lorsqu'un seigneur est apprécié ou non...
Très bien écrit, Lian Hearn nous transporte litéralement à travers des paysages japonais magnifiques, j'avais vraiment l'impression d'y être ! Beaucoup de descriptions sur la montagne, les jardins, les maisons, les vêtements... On imagine tous les décors dans leur moindres détails, les moindres broderies et motifs sur les kimonos... Les odeurs, les sons... L'auteur nous titille les sens et l'imagination à chaque page =) Il n'y a pas vraiment d'action à proprement parler, ici, tout se joue en coulisse, derrière les façades des chateaux !
Juste épique. En route pour le tome 2 ;)
Ma note : 15/20
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15/07/2013
Tomb Raider - Test et impressions
Année : 2013
Support : PC
Mon avis : Je ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait appeler une geek ou une gameuse (ce mot existe t-il d'ailleurs ?), je ne passe pas 35 heures par semaines devant une console, je n'ai pas toutes les plateformes possibles et inimaginables, mais y'a des fois, ça fait vachement de bien de se retrouver derrière un écran pour jouer ! Le dernier opus de Tomb Raider développé par Square Enix me faisait de l'oeil depuis sa sortie, et hier, le site éponyme faisait des promos sur les jeux PC en téléchargement... Ni une ni deux, je me suis procurée cet opus, pour une somme bien modeste (comme je l'avais fais pour Final Fantasy VII d'ailleurs) ...
Il m'a fallu attendre pas moins de 11h pour le télécharger ! Mon PC n'ayant pas les capacités techniques d'un super calculateur, j'ai du me montrer patiente... Et mettre à jour les pilotes de ma carte graphique aussi... Arrivée à 100%, j'exprime ma joie en cliquant sans attendre sur le petit bouton "jouer", qui me narguait durant le chargement.
La croisière s'amuse...
Le jeu commence sur une cinématique aux graphismes impressionnants ! Lara Croft est en plein naufrage, pendant un orage titanesque, au milieu du Triangle des Dragons... Elle échoue sur une île un peu glauque au sud du Japon... Son but : retrouver ses coéquipiers, et éviter des habitants de l'île qui ne lui veulent pas que du bien...
C'est à partir de ce moment que nous prenons en main Lara, que personnellement je n'avais pas eu l'occasion de contrôler depuis Tomb Raider Anniversary. Le trajet est assez linéaire, et les quelques énigmes présentes pour la mise en place du jeu sont assez simples. On a un gameplay léger qui nous permet entre autre ne prendre conscience de notre environnement, et d'enflammer des objets grâce à notre torche. Ajoutez à cela une touche pour sauter, et on est bon. Les décors sont absoluments magnifiques, de plus, l'environnement dynamique nous oblige sans cesse à regarder tout ce qui se passe autour de nous, on craint qu'un individu non identifié arrive par surprise à chaque instant, ou qu'un énorme rocher ne nous tombe sur la tête...
Autre chose que j'ai beaucoup apprécié : pour parler cruement, Lara en chie grave. Elle est blessée, elle pisse le sang, elle à froid, elle est crad', elle est exténuée... Fini l'héroine qui a toujours le brushing impeccable ! Cela rajoute un réalisme irresistible à l'ambiance décalée et malsaine qui régnait déjà sur cette île étrange...
L'intro se termine sur la découverte du panorama de l'île, et contrairement à Lara, on a hate d'en explorer les moindres recoins...
Niveau doublage, on retrouve Alice David (vu dans la série Bref, notamment =) ) aux commandes de Lara ! Je dirai qu'elle a une voix un petit peu monotone, pas toujours très expressive, mais un très joli timbre qui colle parfaitement à notre jeune aventurière ;) J'ai également reconnu Geneviève Douang pour la voix de Sam, que j'ai connu grâce au personnage de Evangelyne dans Wakfu ;) Pour les autres, pas mal de doublages que l'on reconnait, c'est presque du cinema, ça en jette... Maintenant la suite.
Et Robinson cru Zoé...
Si j'avais un seul reproche à faire, je dirai qu'à la fin de l'introduction, on a déjà une barre de progression de 4%. On se dit alors qu'avec la durée de vie, ça va pas être terrible...
Lara est donc ensuite embarquée dans une lutte intense pour sa survie : chasser et dépecer les animaux pour manger grâce à un arc retrouvé sur un cadavre, se défendre face à des russes rustres et sauvages qui veulent sa mort on ne sait pourquoi... Tout tourne autour d'une déesse japonaise nommée Himiko, reine du Yamatai, et qui est encore vénérée comme aux temps anciens...
On apprend pas mal de techniques de combat ! Moi j'aime le tir à l'arc furtif, c'est stylé =D Avoir une souris est insispensable, j'en ai pas et je galère pour viser correctement, surtout quand viennent les loups ! Aux différents camps que l'on rencontre, on a l'occasion d'améliorer notre équipement grâce à des matériaux que l'on trouve à droite et à gauche, de même, Lara peut apprendre de nouvelles techniques lui permettant par exemple d'avoir plus de munitions dans ses poches (oui, c'est possible, demandez à Hermione dans HP...)
Lost, les disparus...
Outre le fait de chercher un moyen de ne pas claquer subitement de malnutrition, il faut donc éviter en plus de se faire sauvagement assassiner par des malfrats en mode grosse brute, surement des mercenaires à la solde d'un quelconque individu venu s'enrichir sur cette île des plus mystérieuses...
Si au début du jeu, j'ai été un peu dépaysée, j'ai rapidement ressenti la même excitation que j'avais éprouvée lors des précédents Tomb Raider : il faut retrouver son chemin, résoudre quelques énigmes, entrer dans des tombeaux et sauver sa peau, ainsi que celle de ses coéquipiers, si possible... Agrémenté de quelques cinématiques dont l'action ne manque pas, tel un crash d'avion ou l'escalade d'une tour radio assez stressante, je ne m'ennuie pas un seul instant, même si j'en viens quelques fois à perdre le fil du scénario... Quelques défis et quêtes optionnelles complètent cette histoire, il faut par exemple trouver différentes reliques ou des pages de journal de différents protagonistes...
Au moment ou j'écris ces lignes, je viens de découvrir l'existence d'un immense soldat en mode samurai zombie qui n'a pas l'air commode et qui rajoute une touche de fantastique des plus délicieuses, et Lara se trouve en ce moment même au milieu d'un océan de cadavres en putréfaction... J'ai presque l'odeur de la viande pas fraiche dans les narines... L'acquisition de nouvelles armes telles le pistolet ou le fusil à pompe sont d'une grande aide, je pense que mon arc aurait été un peu faiblard devant ce garde tempête...
Resident Evil...
Au fur et à mesure de l'intrigue, je me rend compte que l'île est encore plus craignos que ce que je pensais, et que certains niveaux me font carrément flipper... j'adore. Oui, j'adore avoir les foies devant un jeu ;) Certaines étapes telles que celle se déroulant dans le bidonville, ou la grotte ou les futurs Solarii apprenent à se manger entre eux, sont carrément morbides, et on a l"impression de se retrouver dans un film genre Silent Hill... Je vais pas vous mentir, j'ai hate de dégager d'ici =P
Le jeu se termine avec une fin attendue et sans trop de surprise, après un boss de fin qui ne fut pas insurmontable... Lara a vu tellement de choses abominables que son caractère en a prit un coup ! Elle a apprit à ne plus épprouver de pitié pour personne, une survivante est née...
J'ai adoré découvrir les différents niveaux du jeu, les nouveaux lieux, les tombeaux secrets... En bref, ce jeu est une petite merveille. Mon petit pavé s'arrêtera donc sur ce bilan : c'est un jeu que je conseille particulièrement, tant au niveau des graphismes majestueux que de l'intrigue pas mal ficelée. Le gameplay est vachement agréable, même si l'on a peu l'occasion d'utiliser toutes les techniques de combat. J'ai quelques petits couacs qui viennent assombrir le tout cependant. La durée de vie du jeu est d'environ une dizaine d'heure, et c'est dommage car avec un jeu de cette qualité, le double aurait été plus satisfaisant. Je regrette également l'introduction de Mathias dans le scénario, car finalement, à part en ramassant les pages de son journal égarées sur l'île, le grand méchant de l'histoire n'est jamais introduit correctement, et on ne sait pas trop qui il est ni d'ou il vient ni quel est sont but ultime...
J'espère que ce petit résumé vous a plu et qu'il vous a donné envie de jouer à ce jeu, ci ce n'est déjà fait ;) Ma barre de progression est actuellement de 70%, il ne me reste plus qu'à combler tout ça, et pourquoi pas, recommencer le jeu, mais cette fois en mode difficile =P
A la prochaine !
Ma note : 17/20
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06/07/2013
Berserk - L'âge d'or
Année : 2012-2013
Réalisateur : Toshiyuki Kubooka
Genre : Historique, Action, Fantastique
Synopsis : Un mercenaire du nom de Guts se retrouve engagé dans la Troupe des Faucons, dirigée par un certain Griffith, qui porte un mystérieux médaillon et souhaite devenir roi du pays...
Mon avis : Je vais décomposer tout ça en fonction des films, on s'y retrouvera mieux ;) A savoir que l'histoire originale est tirée du manga Berserk de Miura Kentarou, qui ne compte pas moins de 37 tomes sortis au Japon et 36 en France, chez Glénat. Pour les avoir dévoré en quelques jours, je peux vous assurer qu'il y a du niveau. A ce jour, j'attend le chapitre 334, et bon dieu que c'est long... La trilogie des films reprend la série animée de 1997 : elle raconte l'histoire allant des tomes 2 à 12 si ma mémoire est bonne, intitulée l'Âge d'or. Voilà je pense qu'avec ces renseignements, on a le strict minimum =)
(Attention aux spoilers !)
Berserk - l'âge d'or partie I - L'oeuf du roi conquérant
Cette première partie conte la rencontre entre Guts, brute épaisse imbattable en combat, et Griffith, chef de la Troupe des Faucons, mercenaires très demandés car toujours victorieux. Guts vit sa vie au jour le jour, avec dans sa tête des souvenirs effroyables qui le poussent à aller toujours plus loin dans le combat. Il ne se bat que pour se tester, et il met sa vie en jeu à n'importe quel prix. Au pire, bah il meurt. Sa rencontre avec Griffith, seul être humain l'ayant vaincu à ce jour, va lui faire avoir un autre regard sur le monde. Il va pour la première fois risquer sa vie pour quelqu'un d'autre, et tout particulièrement dans l'optique d'aider Griffith à réaliser son rêve ambitieux de devenir roi.
La relation qui lie les deux personnages est très profonde, c'est une amitié vraiment puissante et indéfinissable. Mais sous les propres paroles de Griffith, Guts va douter du sens qu'il a donné à sa vie. A quoi bon aider quelqu'un à réaliser son rêve, si nos propres rêves sont destinés à rester dans l'ombre ? On sent que Guts est partagé : rester avec la Troupe des Faucons à laquelle il s'est attaché, ou continuer sa propre route afin de donner un sens à son existence et être l'égal de Griffith... De plus, ce dernier cache un destin plus que mystérieux et sombre, en rapport avec un pendentif étrange nommé Behelit...
J'ai adoré. Je sais que je dis souvent que j'ai adoré, mais n'empêche que j'ai adoré. L'animation est magnifique, même si comme à mon habitude je ne suis pas fan du mélange 2D/3D, les combats sont du coup très dynamiques et on a les yeux qui bougent tout le temps pour ne louper aucun détail. Le scénario est travaillé, sans faille, on suit l'évolution des personnages avec intérêt, et on peut presque sentir que l'orage approche et qu'une tempête ne va pas tarder à éclater... Le chara design est propre, fidèle au manga mais retravaillé pour l'occasion. Bref, c'est énorme. Le générique démonte (Aria de Hirasawa Susumu). C'est assez violent, donc attention pour les publics assez jeunes ! Mais moi j'm'en fous, pfeu, parce que je suis pas un bébé.
Berserk - l'âge d'or partie II - La bataille de Doldrey
La coopération entre Guts et Griffith a atteint son paroxysme, mais le malaise que Guts a ressenti suite aux paroles de Griffith ne s'est pas estompé. Après la victoire de la Troupe des Faucons face à la forteresse de Doldrey, quelque chose doit changer, et c'est la raison pour laquelle Guts décide de partir.
Cependant Griffith est loin de l'accepter : il ne peut concevoir que ce qu'il a désiré un jour veuille le quitter, cela voudrait dire qu'on lui met des obstacles sur la route qui mène à son rêve, et ma foi ce n'est pas dans son programme. Bien qu'attachant, Griffith apparait alors arrogant. Les deux compères s'affrontent dans un ultime combat, dont Guts sort vainqueur. Le chef des Faucons est anéanti, plus rien n'a de sens, ni son rêve, ni sa vie et le sens qu'il lui a donné. Il va alors dans la chambre de la princesse Charlotte, ce qui sera à l'origine d'un grave incident diplomatique qui le mènera à sa perte...
Cette deuxième partie illustre comment un fossé béant s'est creusé entre les aspirations de Griffith et celles de Guts. Ce dernier s'en veut de faire de la peine à celui qu'il considère déjà comme son seul ami, mais Griffith est déchiré de l'intérieur...
J'ai trouvé que c'était bien mis en scène, on voit presque le coeur de Griffith se briser devant nos yeux. La scène du bal était un peu longue, mais on est heureux de voir les personnages en profiter, car on sent que ça ne va pas durer... Un petit clin d’œil au manga avec l'apparition de personnages qui deviendront plus tard des personnages principaux comme Puck, Farnese ou encore Serpico (que l'on peut voir dans le générique toutefois =). On quitte ensuite Guts avec un gout amer dans la bouche, un gout qui ne laisse rien présager de bon...
Berserk - l'âge d'or partie III - l'Avent
Guts revient, un an après son départ précipité de la Troupe des Faucons. Il apprend par ces derniers que Griffith pourri dans les geôles du palais, et il promet d'aider à le délivrer avant de s'en aller à nouveau. Casca et lui deviennent plus ou moins un couple, et la jeune femme, bien que fascinée par Griffith, se laisse emporter par le bonheur de revoir Guts. Mais rien ne fonctionne comme prévu : après un an de tortures abominables, l'ancien chef des Faucons est à peine vivant, il a du mal à croire que Guts est revenu pour lui...
Au fur et à mesure, on va s’apercevoir que, certes le corps de Griffith est très amoché, mais que son esprit est bien pire. C'est la jalousie et l'envie de vengeance qui s'emparent de cette maigre carcasse, et bien qu'il ne puisse plus parler, on sent qu'il a de la haine et énormément de rancoeur envers Guts, qui a fait de lui l'être brisé qu'il est devenu... De plus, Casca qui ne vivait que pour lui l'abandonne également, c'en est trop. Lorsque Griffith retrouve le Béhélit, c'est la fin. Les Dieux de la causalité lui offrent l'ultime place de Dieu, mais lui demandent du sang comme paiement, le sang de ses anciens camarades comme sacrifice... c'est la que commence le massacre.
Cette ultime film clôturant la trilogie est d'une extrême violence ! On commence doucement, avec la réunion de Guts et de Casca, mais on monte crescendo pour ne jamais redescendre sur terre. Beaucoup de souffrances et des scènes que j'ai eu un peu de mal à regarder comme le viol (?) de Casca. A ce moment, Guts est à deux doigts de sombrer dans la folie, j'avais les yeux grands ouverts tellement j'attendais la suite O_O J'ai eu l'impression qu'il y avait un peu moins de 3D, peut-être car il y avait moins de scènes de batailles comme lors des deux précédents films. Cet épisode s'éloigne un peu des deux précédents en écartant le thème de la conquête territoriale pour rentrer pleinement et surement dans la dark fantasy, à nos risques et périls.
Bilan global : Vous avez intérêt à regarder ça tout de suite et à me dire ce que vous en pensez ! Attention toutefois aux âmes sensibles, car la trilogie contient des scènes un peu osées (nan mais genre vraiment) que ce soit au niveau du sexe ou de la violence, il n'est donc pas recommandé aux plus jeunes (dit-elle en souriant, encore traumatisée). Certaines sources nous soufflent à l'oreille que Berserk, c'est loin d'être fini, vrai ou faux ? J'en sais rien, je suis pas un Dieu de la causalité moi.
Ma note : 19/20
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05/07/2013
Opening Free ! Rage on de OLDCODEX
J'm'en fous j'suis une fangirl et j'assume =P
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02/07/2013
Index des critiques "Animes"
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01/07/2013
Mirai Nikki : Redial
Année : 2013
Genre : Comédie, Fantastique
Episodes : 1 OAV
Synopsis : Gasai Yuno vit paisiblement sa vie, et s'amuse en compagnie de ses camarades de classe. Mais quelque chose lui manque, et elle n'arrive pas à mettre le doigt dessus...
Mon avis : Mirai Nikki : Redial est le sequel de la série Mirai Nikki (dont vous pouvez lire ma critique sur le blog =P). Souvenons-nous (attention aux spoilers) : à la fin de la série, Yukiteru devient le nouveau dieu de l'espace et du temps, mais se retrouve séparé de Yuno, celle ci s'étant sacrifiée pour que son cher et tendre puisse gagner le jeu. Seulement lors de cet affrontement final entre les différents protagonistes, plusieurs dimensions parallèles s'affrontent et finissent par se lier alors que les lois de causalité l'interdisent : on peut voir alors une Yuno plus jeune, qui a encore ses parents... c'est cette Yuno la que l'on va découvrir, cette Yuno qui ne connait pas Yukiteru, mais qui en ressent le manque au fond d'elle... Ce petit speech à l'air interessant vu comme ça, il en est tout autre cependant. En effet, l'OAV n'a aucun, mais alors aucun intéret.
Cette histoire avait pour but de raconter comment Yuno retrouve Yukiteru à la fin de l'histoire, scène qui était dans le manga, mais non abordée dans l'anime. Cela aurait pu être très interessant, mais cette OAV s'obstine à ne rien vouloir raconter. On passe d'une scène étrange ou Yuno a une impression de déjà vu, à des scènes comiques ou l'on retrouve au fur et à mesure tous les personnages de la série. De plus, l'animation est assez mauvaise et les musiques sans aucun charme...
Même les retrouvailles des deux tourteraux sont fades et sans aucune chaleur, on termine l'épisode avec un gout amer dans la bouche, frustré non seulement de ne pas avoir eu une conclusion digne de ce nom, mais pire, d'avoir regardé une fin baclée qui vient ternir une série que pour ma part j'ai trouvé géniale... Grosse déception.
Les quelques points que j'accorde à cette OAV sont modérément mérités : l'opening est assez moyen mais pas désagréable à regarder, et j'ai aimé retrouvé Yukiteru desespéré au fin fond d'on ne sait ou, maitre de l'espace, du temps, mais incapable d'être heureux sans celle qu'il aime...
Ma note : 4/20
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